The Midnight Parc

* Elle était sortie pour ne pas passé sa première soirée de "come back" toute seule. Evidemment, douée d'un sens de l'orientation incomparable (ah, ah, ah), elle avait finit par se perdre dans cette ville où elle avait trop vite perdu ses repères. *

* Elle avait donc finit là, dans un parc où les balançoires grincaient, couvrant le bruit du vent dans les granches pointus des arbres dégarnits. Cette brise froide faisait couiner le tourniquet qui semblait jouer seul. *

* Ses talons sur les graviers du petit chemin, elle marchait le plus vite possible, ne cherchant qu'à atteindre l'autre bout du parc pour déboucher sur une rue éclairée par plus d'un lampadaire tout les 50 mètres! *

* Elle s'arrêta nette en entendant un bruit derrière elle. *

Allucinations, allucinations, allucinations Keira!

* Bill, qui était un grand adepte de la techtonik depuis peu, en particulier depuis qu’il l’avais découvert sur internet dans un jour d’ennui total s’était retiré dans ce endroit très peu fréquenté pour s’entraîner. Vous imaginez la honte international pour un rockeur so famous tel que Bill de se découvrir une passion pour la techtonik. Il avait tenté d’enrôler son frère mais c’était pas vraiment gagné. Donc il était là dans le parc là a déhancher ses bras dans tout les sens. *

* Il vit alors Keira, la honte ! Il laissa tomber ses bras, apparemment elle ne l’avais pas vu quelle chance. D’ailleurs ca faisait un bye qu’il ne l’avais pas vu. Comme Bill était très people il avait entendu parler d’un récent voyage a Los Angeles mais il ne savait pas qu’elle était de retour. M’enfin il n’avais plus du tout envie de danser la techtonik a présent. Il se mit a la suivre jusqu’à la rattraper et se retrouver a son niveau.*

« Thriller…»

* Il avait chanté avec un sourire au bout des lèvres la première phrase du refrain de la célèbre chanson de Michael Jackson qui était devenu un sale type pervers pédophile mais bon Thriller c’était le bon temps ou il avait pas encore la gueule toute blanche et ou il ne lançait pas des bébés par les fenêtres. Elle avait légèrement sursauté. *

« Ce n’est que moi. Qu’est ce que tu fous ici toute seule ? »

* Il aurait pu rajouter, « Toi aussi tu t’entraîne a la techtonik ? » Mais il était sur qu’il n’y avait que lui pour faire ce genre de choses. Parfois il se sentait vraiment idiot. Il l’était probablement mais il essayait de le cacher au jolies filles qu’il abordait son frère le connaissait sa suffisait. D’ailleurs c’était étrange qu’il veuilles de lui avec tout ce qu’il avait pu voir de chelou. *

* Le bruit avait continué à la suivre et elle se persuadait que ce n’était que son imagination, jusqu’à ce que l’imagination ait une voix et chante du Jackson. *

* Sûrement par peur, elle se retourna brusquement dans un sursaut, et, après que l’homme ait parlé, et lui envoya son sac à main à la figure. Non, elle ne lui donna pas en prenant la fuite, elle le frappa violemment avec. La silhouette volumineuse de la personne qui se trouvait près d’elle ne vacilla pas beaucoup vu la force qu’elle possédait, mais juste assez pour le surprendre. *

Non mais t’es malade !

* Instinct de survie sûrement, elle avait donné le coup alors que son esprit avait analysé : Moumoute énorme => Bill Kaulitz. *

Bill ???

* Elle avait écarquillé les yeux, surprise de trouver quelqu’un d’autre à une heure pareille, dans un endroit pareil ! Sa voix prit presque une tournure désolée lorsqu’elle demanda :*

Ca va aller ?

* En fait, après ce grand coup de flip, elle se sentait rassurée de ne pas être seule. Elle en reprit donc une certaine aisance, tirant sur sa gabardine (n.f. longue veste) pour la remettre en place, reposant son sac à main sur son épaule. *

* Sans qu’il ait vraiment pu s’y attendre il s’était mangé le sac de Keira dans son joli petit minois. [vise la rime =p] Bon y’avais mieux comme accueil mais bon tant que ce n’était pas une poêle Tefal il survivrait. *

* Il passa sa main dans ses cheveux comme pour les remettre en place mais sa lque était très efficace, alors c’était plus un tic pour se remettre de ses émotions. Car évidément il ne s’était pas attendu a se faire frapper. La prochaine fois il éviterais les effets de surprise à la con. *

« En effet mauvaise idée, j’étais loin de me douter que j’aurais à faire à une WonderWoman enragée. »

* Un léger sourire se dessinait au coin de ses lèvres. *

« Capillairement repéré c’est ça ? »

* Il accentua son sourire, et continua de marcher aux côtés de Keira, mine de rien. *

« On vas dire que je me suis manger ton sac dans la gueule, mais je survivrais si c’est ce que tu veux savoir. »

* Il déposa son regard sur elle. *

* Elle avait sourit à ses petites remarques puis, l’air de rien, alors qu’elle fixait ses chaussures neuves, elle releva les yeux vers lui pour lui dire… *

Capillairement inoubliable.

* Elle soupira légèrement et, comme fière d’elle même alors qu’il n’y avait pas vraiment de quoi, elle le fixa. *

Heureusement que je n’ai pas tapé trop fort. Détruire mon seul « protecteur » potentiel aurait été regrettable.

* Comme pour confirmer ses paroles, le vent souffla plus fort, entraînant les balançoires à grincer de nouveau. Après un silence, elle reprit. *

Donc, qu’est-ce que tu fais là toi ?

* Intriguée, elle l’interrogeait du regard. Oui, elle, elle s'était plus ou moins perdue, c'était une très bonne escuse. Elle attendait celle de Bill.*

* Faut dire que les remarques de Bill était très…constructives c’était affolant. Keira leva alors les yeux vers lui. Il ne la connaisait pas vraiment mais les rares fois où ils avaient passé un moment ensembles avaient été bien sympatique. Et là c’était le drame les lignes d’action rétrécissait a vu d’œil que pouvait faire deux clampin dans une rue à part marcher sourire et se tripoter les cheveux. Pas grand chose en fait. C’est bien là tout le problème il ne pouvaient pas faire ca en boucle. *

« Uniquement Capillairement ? »

* Il fit une petite mue triste que se transforma rapidement en un magnfique sourire. *

* C’est alors qu’elle le Fixa assez intensément. Son regard se perdit dans les sien une poignée de seconde puis Bil ldétourna les yeux en direction de la balancoire qui grincait. *

« Mmh Protecteur…Qui te dis que moi aussi je n’ai pas peur des balancoire qui grincent. Tout le monde me prends pour une tapette alors sa serait pas si étonnant. »

* Il lui adressa un petit sourire en replongeant son regard dans le sien. *

* Elle le fixait et son regard à tendance plutôt sympathique se transforma subitement. Ses yeux se voulaient plus noirs, comme si elle avait voulu le convaincre pour s’en persuader elle même. *

Non, tu n’as pas peur des balançoires qui grincent Bill.

* Lors d’une escapade nocturne, il était préférable qu’au moins un des deux n’ait pas peur !*

Tu vois, si tu fais preuve de courage ce soir, j’aurais d’autres choses à ajouter à tes qualités « inoubliables ».

* Ils venaient d’entrer dans une ruelle plus éclairées que la précédente et elle se décontracta un peu plus. Elle pu même, pour la première fois de la soirée, observer son visage à la « lumière ».

* Dans l’immeuble d’en face, une vieille porte métallique retenait difficilement un son jazzy assez fort. Elle détourna alors son regard des yeux de Bill pour fixer l’endroit. *

* Non il n’avait pas peur des balançoires qui grincent vu qu’il dansais la techtonik dessus quelques minutes plus tôt mais il ne savait pas ce qui était le plus honteux à avouer à vrai dire. *

« Non je n’ai pas peur des balançoires qui grincent après tout les balançoires qui grincent c’est juste des balançoires peut huilées que le vent fait se balancer. Logique tu me diras pour des balançoires… »

* Il releva les yeux vers Keira. *

« Tu sais tu peux m’arrêter quand j’entre dans mes délires pléonasmiques à la con… »

* Un petit sourire se forgea au coin de ses lèvres. Ils arrivèrent alors dans une ruelle plus éclairée qui s’averrait êtres la rue principale du Quartier Aubruy- Chelou. *

« Alors ici c’est ici tu trouves tout les dépravés de la ville, les junkies, les prostitués les alcooliques que du bon. Mais parles moi plutôt de toi, C’était comment à Los Angeles ? »

* Il continuait d’avancer jusqu’à arriver devant un Pub qui avait l’air en bien piteux état, l’ambiance y était lugubre et les carreaux étaient sale, mais personne ne semblait les reconnaître. Sûrement trop occupés a négocier leur coke. *

* Elle l’avait fixé avec une intensité étrange. Il partait dans un délire de balançoire et elle l’avait laissé faire. *

J’y penserais la prochaine fois, compte sur moi !

* Après lui avoir adressé un sourire amusé, il observa uns à uns les personnages qui peuplaient la rue. Deux SDF se disputaient un chariot remplit de couverture tandis que des alcoolo riaient à pleine gorge, pliés en quatre. Elle ne pensait pas voir ça un jour, dans cette ville aux palmiers verdoyants et aux habitants plus riches les uns que les autres. *

Los Angeles…

* Elle revoyait les paysages de… « là-bas » et, en regardant ici, devant elle ajouta :*

… C’était génial.

* Elle avait sourit en regardant Bill. Après tout, ses gens là avaient leur vies, elle ne se minerait pas le moral pour eux.*

* D’un air enthousiaste, elle proposa : *

Je suppose que tu m’offres un verre ?

* Elle avait déjà traverser la route pour rejoindre le trottoir en direction du Pub. *

* 23H37 ? Heure parfaite pour Airper [RP] Oui Cécile, avait besoin d’une atmosphère détendue ou personne ne la distrayais sur msn pour poster. Oui le grand problème de Cécile c’était la concentration. Elle était gémeaux que voulez vous. Bien trop distraite par ses conversations il lui était impossible de faire autre chose en même temps. Cependant a 23h41 maintenant, elle pouvait se permettre de foutre des vent au gens sur msn, ils ne lui en voudraient pas, il suffirait de leur dire qu’elle s’était endormie sur le clavier. Mais revenons a ce cher Bill. Oui Bill était dans le quartier mal famé de la ville attention. Et pourquoi ? Pour une raison toute conne. Son rêve. Oui chaque soir, il venait ici dans l’ombre de ce parc a minuit précise pour s’entraîner et s’entraîner encore a cette danse honteuse qu’on nomme Tecktonik. Oui Bill ne pouvais pas s’entraîner à la maison, quand il avait avoué son pêché honteux a son frère il l’avais menacé de couper l’abonnement internet. Bill qui prenait des cours de tecktonik pour les nuls, se sentirais profondément démuni sans cet outil merveilleux qu’Internet est. Quand a se taper l’affiche dans la ville sûrement pas. Il avait une réputation a tenir quand même. Alors il venait ici, cet endroit moisi d’au moins quinze siècles, complètement déserté pour s’entraîner à devenir le meilleur tecktonik killer de tout les temps.[un jour je serais le meilleur dresseur, je me battrais sans répit ...(] Arrivé enfin a destination, il mis son I-POD Sur ses grande oreilles caché par une cascade de cheveux noirs hérissés, et se mit agiter les bras dans tout les sens. Vu de loin ça ne ressemblais pas a grand chose, on avait plus l’impression qu’un hérisson de forme humaine se débattait avec essaim d’abeilles, mais quelque part Bill progressait et c’était ça le plus important. [séquence musicale, avec les violons et tout] Bill réaliserias son rêve tôt ou tard ! Il le savait…Alors il continuait a gigoter les bras dans tout les sens inventant même quelques mouvements impréssionant. Et ce fut alors en cette nuit unique que naquit la Billtonik…*

Invité

00h20 .. Et voilà que c’est Lolotte qui est interpellé par Cécile pour ce fameux topic de Techtonik .. Prise d’une immense flemme elle refuse déjà d’y répondre mais Bill ayany plein de fans, elle risque fort de se faire chooré la place à la première heure, alors elle retrousse ses manches et se met à pianoter ..
Chrisou, oui car s’est de lui que nous allons parler, était lui aussi de sortit, marchant dans les rue assombries par la nuit tombée .. Il ne savait pas ou il allait et finit par mettre ses pieds dans la zone mal famé, sans même savoir qu’il y était ..
Techtonick vous dites . Ha ouai avec Alive là ? Nan merci Christophe lui sont truc c’est de sauter partout, courir partout, hurler dans un micro avec ses tripe, mais bizarrement ses bras non ils bougent pas ! C’est comme aller demander a Jamel Debouz de faire la techtonik .. Bon plus sérieusement et sans être méchant, Chris n’avait que des bras gauche en danse, parce contre quand il s’agit de bouger avec ses pattes là il est super doué !
Euuuh j’en étais ou ? Ha oui Chris marchait les mains dans les poches quand il arriva au bord d’un parc. Il vit alors comme une drôle de touffe touffe noir au loin qui gigotait très bizarrement .. Ho … HO MON DIEU LE ROI LION EXISTE VRAIMENT !! Ou bien était-ce un démon des nuit exerçant son rituel satanique ? Pourtant cette silhouette lui disait étrangement quelque chose .. Il s’avança un peu plus et reconnut alors Bill Kaulitz, vous savez ce gars à la tête de hérisson que toutes les filles vénèrent.
Il haussa un sourcil en le voyant faire sa danse bizaroïde, et finit par faire signe qu’il était là ..

« Hey .. Bill .. T’es en manque de tes médocs ou t’as un problème de comportement corporel ? o_O »

On ne sait jamais peut-être que ce gars avait deux personnalité et que la mauvaise tentait de prendre le contrôle si bien que la première se débattait ou peut être ne contrôlait il pas bien son corps o_O

* Bill était donc toujours a fond dans son interprétation corporelle très particulière d’Alive, quand il vit une ombre se dessiner au loin, il pensa tout d’abord qu’il s’agissait de son imagination quand tout a coup ce fût le drame. CHRISTOPHE MAE ! Oui vous avez bien entendu Christophe Maé la risée de toute la ville, celui qui a trop envie de faire pipi rooo, Celui qui pense très fort que Bill a le plus beau cul du monde ! Bref Bill n’en croyais pas ses yeux. Son I-POD en tomba tout seul de sa poche tandis que ses écouteur tombaient miraculeusement de ses oreille pour qu’il puisse entendre la phrase que venait de prononcer l’énergumène qui se trouvait en face de lui. Les bras de Bill retombèrent eux aussi plus rapidement que la lumière le long de son corps. [La team rocket plus rapide que la lumièreeee.] Bon devant Christophe c’était pas trop grave encore, il avait vécut pire comme honte. Il était la honte a lui tout seul. Oui Bill n’avais pas eut vent de cette histoire de sosie, pour lui Christophe Maé ne pouvait être que Christophe Maé.[Vas comprendre le raisonnement philosophique de mon brun électrisé] Bill eut quelques seconde de réflexion avant de réaliser qu’il lui avait adressé la parole. *

« Toi, tu ne m’as jamais vu danser la Tecktonik… »

* Il s’était approché de Christophe et s’était mis a le secouer.*

« MA REPUTATION ENTIERE DEPENDS DE TOI ! »

* Il s’était ensuite calmé, il ne fallait pas le terroriser, non plus, il pourrait se pisser dessus [XDDDDD] Maintenant Bill se demandait si il devait lui indiquer les toilettes ou lui montrer son cul.*

« J’te laisserais me matter le cul, mais dis rien. »

* Fallait imaginer, un peu le truc un chanteur de rock qui se découvre une passion pour la tecktonik c’était plutôt mal vu.*

Ce matin, Jo s'était réveillé plutôt le brouillard dans la tête. Il était descendit prendre son habituel café bien noir afin de se réveiller, mais une fois celui-ci consomé, une haine immense l'envahie. Ses yeux noircirent, il ne devait pas être gay. C'était sa réputation, son groupe, et même toute sa vie qui était en jeu. Il devait redevenir hétéro, comme ce qu'il avait toujours cru être, il devait oublier cette putin d'attirance pour son propre sexe. Car au final, c'était quoi ? Ca ne rimait strictement à rien, ou irait-on si tout le monde était comme ça ? Comment réhabiterait-on la planète si il n'y a pas d'enfants. Ca n'était pas dans ses projets d'en faire, mais il ne voulait surtout pas finir sa vie comme ça, seul, au fond d'une cave à se dire qu'il avait perdu son temps. Perdu toute sa vie à éssayer d'obtenir un couple qu'il n'aura pas. Qui est comme ça ? Hormis lui ? Personne. D'une, il ne trouvera donc pas, de deux, tout le monde le regardera bizzarement, le montrera du doigt. Il ne voulait pas de cette vie de rejeté, de cette vie de solitude merdique. Il voulait une vraie vie, avec une maison et un jardin, peut être une femme, mais ça c'était pas sûr. Il préfèrait être plus libre, peut être que ça changera avec l'âge.
Il devait donc réussir à retrouver une attirance sexuelle "dans les normes". Il monta rapidement dans sa chambre, prendre sa douche et s'habiller d'un p'tit jean avec un t-shirt rouge aux motifs funs noirs. UN peu de gel, voir beaucoup, et le tour est joué. IL sortit enfin. Qu'allait-il faire ? Tenter de s'hétérotiser, tenter d'aimer baiser une fille. Ca n'était pas une mince affaire et il n'était pas sûr de réussir, mais la haine le poussait à aller jusqu'au bout des choses. Seulement, il ne voulait pas n'importe quoi, il voulait de la violence. Il voulait dominer, il voulait obliger. Il voulait commander. En gros, il voulait violer. Il voulait frapper et voir des larmes jaillirent de yeux appeurés. Oui, ça ça lui plaisait, c'était de cette façon qu'il voulait se faire plaisir.

IL prit donc le chemin d'un certains parc de la ville, celui ou peu de personnes vont car il a une mauvaise réputation. Un parc à emmerdes et à mauvaises histoires. Y avait pasdes gangsteers non plus ! De toute façon, le méchant ici, c'était lui. Il ne pouvait rien arriver, et du haut de son désir de faire souffrir, il se sentait invincible, car de cette façon lui ne souffrira pas, lui sera livre s'assouvrir toutes s'es envies les plus cruelles sur une victime. Pas de préparation à l'avance, il ne réfléchissait pas à ce qu'il allait faire. Ca viendrait tout seul, son esprit était assez étrange et sadique pour ça. Il se doutait qu'il ne lui fallait pas un thon, histoire d'avoir envie de meutrir la peau de sa victime, il fallait que celle-ci soit assez belle. Afin que les marques soient plus visibles, qu'on voit qu'elle a souffert et que ses blessures seront bien plus profondes et au niveau du coeur. Le corps, ça n'est pas tellement grand chose, juste une enveloppe qui permet de se constituer, mais le coeur, c'est cela qu'il veut toucher. Il veut lui faire mal, le tabasser, l'affaiblir, l'appeurer et le voir trembler. Rien que d'y penser, un sourire se dessine sur ses lèvres. Aujourd'hui il va se faire plaisir, il va faire mal.

Arrivé à destination, il s'assaya sur un banc, les mains dans les poches. Il se mit à attendre, patiament, de façon calme, comme imperturbé par ses projets. Lui ? Bien sûr que non, il n'a pas peur, il sait qu'il est invincible, il sait qu'on ne peut pas lui faire mal, qu'il ne peut pas se faire avoir. Ca le rend plus fort, il est roi de la destinée de la personne qu'il va violer. Il va la détruire, quoi de mieu ? IL n'attend que ça, depuis toujours. IL avait toujours refouler ses envies de destruction, depuis tout petit. Mais pourtant, quand on arrache la tête d'une petite peluche à à peine 4 ans, c'est que peut être au fond on est détraqué. Lui ne le sait pas, il se trouve tout à fait normal. Qui pourrait soupçonner une personne célèbre d'être un monstre ?
C'est alors qu'une jeune femme, brune, les cheveux assez longs. Elle était plutôt jolie avec les traits de son visages, assez fins. Elle portait une rouge à lèvre bien rouge afin d'affiner ses lèvres. Un jean, un marcel blanc sur un marcel noir, des converses et des bijoux. Rien de plus, rien de moins. C'était elle. C'était elle qu'il allait briser. Il se leva, doucement. Elle leva les yeux vers lui et lui fit un sourire tout en continuant sa route. Il se dirigea précipitament vers elle, la faisant s'arrêter de sourire. Il l'attrapa par un poignet et la tourna. Il lui choppa son autre poignet et les lui coinça avec une main, son autre main alla chercher un couteau dans la poche de son jean et il le colla contre la peau douce de la jeune femme, au niveau du cou.
Tu hurles et je t'égorges ..
Il l'entendit déglutir difficilement, mais au final, elle ne cria pas, elle ne se débatit même pas. Pourtant il voyait ses yeux appeurés, les quelques gouttes de sueur couler sur son front. Il sourit de façon malicieuse et la traîna ainsi jusqu'aux buissons. Puis il continua pour les enfoner un peu dans la pseudo forêt du parc. Là, personne ne les verrait, ne le verrait. Au final il n'y a que lui qui va faire quelque chose, elle ne fera que subir et c'est déjà un plaisir d'y penser. Il est en train de réussir.
Il la regarda dans les yeux, avec une lueur noire, mélange entre haine et désir, au fond des yeux. Il passa sa lame le long de son cou, descendant en ligne droite jusqu'à son aine. IL coupa ainsi les deux marcels, et laissa une marque saignante sur la peau de la jeune femme qui avait les larmes aux yeux. Elle savait ce qui allait se passer, mais elle ne pouvait pas se défendre, il la tenait, et il lui faisait peur. Il enleva les marcel comme on enlèverait des gilets, puis il les laissa tomber par terre. Il passa son doigt sur la coupure qui saignait et le porta à sa bouche pour le lècher. C'était bon, le gout du sang, de la souffrance. Il rapprocha de nouveau son couteau de la jeune femme, mais cette fois de son jean. Il le passa dans celui-ci et il tira pour arracher la fermeture. Il le descendit ensuite, toujours avec son couteau et fit bouger la jeune femme pour l'enlever de ses chevilles et le jeter plus loin à l'aide ses pieds. Il passa ensuite son couteau derrière le soutient gorge de la brune, contre sa peau, et il tira pour l'arracher. Il coupa les bretelles et le vêtement tomba au sol. La jeune femme pleurait, elle tremblait de tout son être. Elle avait peur, elle ne voulait, elle ne supportait pas, mais que pouvait-elle faire ? IL avait de la force, et il était si éffrayant. Elle fermait les yeux, pour ne pas le voir, pour ne pas voir ce qu'il allait faire, ayant peur de chacun de ses gestes. Lui s'en amusait plus qu'autre chose, cette peau était belle, mais il n'avait qu'une envie, la blesser. Il termina son parcours en coupant son shorty qui tomba au sol. Il admira ce corps de bas en haut. Il manquait des marques de coups, des bleus, et tout ce qui s'en suit.
Il se dépêcha de la pousser pour qu'elle tomber par terre. Il retira son jean et son boxer et il se mit à califourchon sur ses cuisses, la bloquant de toute part, car d'une main il lui tenait les poignets au dessus de la tête. Il ne voulait pas l'embrasser, ça le dégouterait plus qu'autre chose. Non il ne voulait pas de ça. Il pointa la lame de son couteau sur l'avant bras droit de la jeune femme et l'enfonça légèrement pour y voir couler du sang. Il fit de même sur l'avant bras gauche, créant ainsi une géométrie dont l'axe serait la coupure joignant le cou à l'aine de la brune. Il colla ensuite la lame sur la joue de sa victime et la fit doucement glisser pour y laisser une nouvelle coupure, dégoulinante de sang. Il admira son travail pendant quelques secondes, un sourire jouissif aux lèvres, puis il jeta son couteau et la pénètra violament. Elle hurla, mais il s'en fichait, personne ne l'entendrait, il n'y avait personne dans ce coin reculé de la ville, sombre et éffrayant. Il commença des vas et viens brutaux, tout en la cognant de ses poings serrés. Il aimait ça, lui faire du mal, ça lui plaisait, il en gémissait même. Elle elle hurlait, de douleur, de souffrance. Elle tentait de se débatre mais elle n'avait plus de force, c'était une fauve qui ne la prenait que pour un objet, qui s'en servait comme bon lui semblait et la torturait.
Après pas mal de temps à la pénètrer avec violence, il atteignit l'orgasme. Il se laissa rouler à côté, allongé sur le sol. Un sourire heureux aux lèvres, il avait réussi, il avait aprécié baiser une femme, et il avait trouvé la technique. Il se releva après quelques minutes de repos et se rhabilla avant de contempler sa victime, donc la peau était meutrie de toute part, et dont les larmes bouffaient les joues. Il adorait cette vision, c'était incroyablement bon et ça termina son spectacle. Il reprit son couteau et le mit dans sa poche, puis il partit, sans rien laisser, sans rien dire, bien content de lui. Laissant la jeune femme ici, complètement abattue, comme morte dans un corps vivant.

Mikie était allongée, la peau couverte de bleus et de sang, les joues et les yeux mouillés de larmes. Elle se mit en position foetale, complètement épuisée, complètement brisée. Elle voulait mourrir, c'était la seule chose qu'elle voulait. Fuir ce monde, fuir ce qu'il lui était arrivé et s'en aller loin de toute ça. Elle ne l'avait pas voulu, elle ne l'avait pas mérité. Elle se sentait sale, elle se sentait mal et complètement dépourvue de vie. Elle était complètement faible, elle se sentait tellement différente, tellement morte. Elle finit par s'endomir, ou plutôt s'évanouir.
Le lendemain matin, un agent de fonction qui nettoyait le parc la retrouva. Il appela une ambulance qui vint d'urgence emmener Mikie à l'hopital où on soigna ses blessures. Elle avait perdu pas mal de sang et était très fatiguée. Elle refusait de parler, dès qu'on la touchait, elle se mettait à pleurer et à se débattre. Il devait la calmer à l'aide de piqûres. Elle ne mangeait presque rien, elle ne bougeait presque pas hormis la nuit ou elle faisait des cauchemards pendant lesquels elle hurlait. Elle était très suivie car elle inquiètait son psychologue à qui elle refusait de parler. Elle ne pouvait pas, elle n'y arrivait pas. Elle ne se sentait plus vivre.
La première fois qu'ils la laissèrent prendre une douche seule, car auparavant, étant complètement faible, elle ne pouvait pas, elle se frotta la peau jusqu'à s'en laisser des marques rouges, pour tenter d'enlever toutes traces de son violeur. Mais elle n'y arrivait pas. Elle en ressortait toujours plus abattue. Elle ne savait plus comment fair,e elle le voyait partout, l'entendait partout. Elle ne comprenait plus tout ce qui se passait autour d'elle. Elle était complètement perdue, ne reconnaissait personne. Tous ces gens qu'elle ne connaissait pas. Il n'y avait personne pour elle. Elle avait l'impression de perdre la tête, de ne plus être elle même.
Vu qu'elle refusait de parler, ils furent obligés de l'envoyer dans un établissement spécialisé. Elle se retrouva avec des fous, des gens perturbés. Elle avait peur, il y avait toujours quelqu'un qui faisait une crise, qui hurlait, qui cassait des choses. Elle restait constament dans sa chambre, rouler en bouler contre le mur, sur son lit. Elle ne savait pas ce qu'elle devait faire, elle n'arrivait plus à penser à autre chose, elle était complètement occupée par son agresseur, elle en avait peur. Chaque nuit elle rêvait qu'il recommençait, et elle se débattait dans son lit, mais elle n'hurlait plus. Elle n'en avait plus la force. Elle avait l'impression de devenir folle, complètement folle, exilée dans un asile de fou.

* Elle était arrivée dans cet endroit qu'elle ne connaissait même pas, en pleine nuit, toute seule. Bon après tout elle était assez grande pour se debrouiller toute seule, mais l'option quartier mal frequenté était légerement sorti de son ésprit.
Elle était donc arrivée vers un petit parc, desert, donc les arbres étaient encore presque nus alors que le printemps et les beaux jours étaient au rendez-vous. Ma fois, elle n'y pretta guére attention ... *

* Elle s'allongea sur l'herbre, regardant les étoiles d'un air mélancolique ... nostalgique.
Elle n'avait pas prévu de prendre un couteau de cuisine au cas où quelqu'un arriverait xD. *

*Et bien contrairement à beaucoup de gens, Ryan avait tout à fait conscience d'être dans un quartier mal fréquenté. Oui Ryan était un homme qui aimait le risque. Non c'était tout simplement parce-qu'il devait passer par là pour rentrer à l'hôtel donc forcément, il était préparé psychologiquement. Il traversa donc tranquillement le parc quand il remarqua une drôle de forme dans l'herbe. Il s'en approcha doucement, les mains dans les poches puis distingua enfin le visage. Et en grand cinéphile, forcément, il connaissait la demoiselle.*

"Oh, Natalie Portman se serait-elle perdue?"

*oui c'était pas méchant juste un peu ironique. Là elle pourrait jouer le jeu en disant qu'elle attendait que quelqu'un vienne la sauver mais bon, en même temps, elle faisait ce qu'elle voulait*

* Elle avait bien sur entendu les bruits de pas précedement, mais elle n'y avait pas non plus preté attention. Elle avait les yeux fermé, mais non, elle ne s'était pas endormie. Encore heureux ...
Mais, elle se redressa brusquement en entendant que les pas s'approchés vers elle, et lorsqu'elle s'était levée, elle s'était retrouvée face à un homme tout à faire charmant. Elle n'avait plus peur. Bien entendu parce-qu'elle savait que c'était Sebastian Valmont dans Sexe intentions. Oui bon ok, en gros Ryan Phillipe.
Un sourire s'accentua sur ses lévres, et elle n'avait pas tardé pour répondre à ce jeune homme. *

Malheureusement oui ... Du coup j'me suis arretée ici. La ville est beaucoup trop grande pour moi.

* Bien entendu, elle ne s'était pas perdue, elle habitait ici depuis presque 10 ans alors bon. *

*Ryan lui répondit par un simple sourire. Non mais il n'allait pas la tuer hein il ne fallait pas croire que c'était un gros psychopathe Natalieportmanophile ou un truc du genre. Non non il savait se tenir le garçon*

"Oh je vois. Donc en fait tu as eu la flemme de continuer à marcher et tu attendais juste que quelqu'un vienne te prendre c'est ça?"

*il fit un léger sourire narquois en sachant qu'elle était dans la merde vu qu'il n'était pas en voiture le p'tit chou. Ben non la marche y a que ça de vrai dans la vie, et le sexe aussi. Mais ça nous verrons après*

* Au moins on pouvait presque savoir en quoi s'en tenir. Elle l'aimait deja bien ce petit mec, ça façon de répondre et d'agir, tout à fait son genre malheureusement. *

Exactement !

* Son sourire en coin ne fit que s'accentuer. Mh finalement sa soirée n'allait pas être aussi banale qu'elle l'avait prevu ... *

La preuve, tu es là.

* C'était vraiment une pure mito xD elle n'était pas perdue et elle trouvait tout les pretextes pour le garder auprès d'elle. *

Enfin bon, un ancien aurait été mieux qu'un nouveau, mais à deux, on se debrouillera n'est ce pas ?

* Elle s'était donc allongée à nouveau, oui, ses talons lui faisaient horriblement mal aux pieds ... Pauvre petite, elle avait la flem de marcher maintenant. *

*han me dis pas qu'elle a déjà craqué pour lui! oO Il n'a même pas sorti sa technique de drague secrète qui en fait n'en est pas une du tout. xD Bref on s'en fout. Ryan restait fixer le sourire de Natalie qu'il trouvait vraiment très mignon et attirant. Be oui, elle avait un je ne sais quoi dans son sourire qui le faisait craquer. Le sourire de Ryan s'accentua quand il l'entendit. Nan mais elle n'avait pas besoin de trouver d'excuses hein. Monsieur allait rester de toute façon. Il avait trouvé de la compagnie, ce n'était pas pour la laisser repartir si vite. Il croisa les bras*

"Un ancien aurait été mieux? Tu sais je connais parfaitement les lieux. Regardes pour sortir de ce parc, il suffit de prendre cette direction..."

*il s'arrêta en voyant qu'en fait l'endroit qu'il montrait n'avait pas de chemin.*

"... Ou pas..."

*Il se rendit compte qu'en fait il était tout simplement paumé. Mais bon, de toute façon un Ryan ça a la fonction GPS donc ça retrouve vite son chemin, même s'il doit faire 3 heures de détour. Il regarda Natalie s'allonger dans l'herbe et lui vint s'asseoir juste à ses côtés. Il la regarda un instant sans rien dire puis ne put s'empêcher d'ajouter*

"Tu es si fatiguée que ça pour presque dormir dans l'herbe?"

*ben oui on pouvait se demander là franchement*

* Non elle n'avait pas deja craqué sur lui au point de lui sauter dessus. Non, et puis de toute façon, les mecs n'aimaient pas les filles gluantes. Non, ils preferaient galerer pour arriver à leur fin, en gros, pas de filles faciles.
Il l'avait fait legerement rigolé. *

Tu vois, tu es tout aussi perdu que moi ...

* Elle avait gardé les yeux ouverts, regardant à nouveau les étoiles. C'était calme et reposant, mais Ryan n'arretait pas de gigoter à coter d'elle. Son sourire c'était accentué. *

Oui ... J'ai bien peur que si tu veux me bouger de là ... il faudra que tu me portes ...

* A la limite ce n'était pas le problème, Nat était assez légere. Oui d'après son mari et Hilary, elle était squelletique ... Enfin bon. Elle avait tourné sa tête afin de le regarder à nouveau. *

En fait, c'est un mélange des deux. Je ne suis pas perdue en réalité, mais je suis vraiment fatiguée ...

* Elle s'était mordillée la lévre. Oui vallait mieux ne pas commencer à mentir. *

*Nan pas forcément, une fille facile ça peut être bien aussi tout simplement parce-qu'on perd beaucoup moins de temps. C'est surtout que la fille aimait se sentir désirée c'est tout. xD Faut pas chercher plus loin en fait. Il prit un air hautain en l'entendant*

"Ah parce-que tu crois que je m'embêterai à te porter? Nan je crois que je te laisserai plutôt sur place en fait."

*ouiiiii il serait comme ça lui! xD Il fit un léger sourire amusé en regardant les étoiles tout en écoutant Natalie. Puis il reporta son attention sur elle*

"Oh c'est dommage que tu sois si vite fatiguée. On aurait pu faire mal de choses tous les deux..."

*Oui alors là je laisse le doute planer mais bon, il aurait pu faire un regard pervers mais non en fait. x) En gros, il pouvait être très sérieux et par exemple lui sortir qu'ils pourraient jouer au Twister. Oh ouiii! Jouons au Twister. xD*

* Non non, le Uno c'était mieux What a Face

xD. Néanmoins, si vraiment le cas était nécessaire, elle ne serait d'un coup plus fatiguée. Magique non ?
Elle avait esseyé de deceler un petit regard pervers chez Ryan mais il n'y avait kedal. Elle s'attendait réelement au plan foireux là. *

L'arrosage de ce parc va se mettre en route dans 5 minutes.

* Elle eut, elle, un sourire malicieu. Il devait être sexy le petit tout tremper, deja qu'il l'était ...
Elle s'était donc levée, sans remettre ses talons, non, hors de question. Du coup, comme Ryan était assis, elle devait le regarder de haut ( Cool

*

*Oui mais c'était connu que Natalie était assez petite en taille donc même si Ryan était assis, elle ne le dominait pas tant que ça. xD Et puis liasse venir, l'air pervers sera bientôt là, y a aucun souci. Genre si l'arrosage se met en route et que Nat porte un haut blanc, ça serait parfait Il la regarda en souriant*

"Et alors? L'eau ne me gêne absolument pas..."

*Ben oui c'est que de l'eau et ça sèche. Ce gars est d'une logique ça fait peur. --' Bref, lui ne bougeait toujours pas et regardait un peu autour de lui. C'était vrai que le lieu pouvait faire peur. Les buissons qui bougent à cause du vent, il fait nuit, un psychopathe qui se promène tout seul dans son coin... Un peu plus et on pourrait croiser un loup garou ou une connerie du genre. Mais bon Ryan est super fort et n'a peur de rien, donc aucun souci. xD*

* Ryan avait surtout les chevilles qui enflent là xD Enfin bon, pourune fois, elle n'irait pas à l'inverse d'une réponse : Nat portait effectivement un petit debardeur blanc, et comme il n'avait pas de bretelles, elle n'avait pas de soutient gorge. ala limite, ce petit détail lui servait à rien, juste à prendre plus de temps avant de faire l'amour. Oui Anaïs avait une ame perverse aujourd'hui xD. *

Ca me generait pas non plus ...

* Surtout qu'un Ryan trempé ... Mh ça ne serait pas de refus Mais ... *

Mais ... Il se trouve qu'il fait assez froid ce soir ...

* Elle faisait la moue. Mais un petit sourire s'accentua sur ses lévres. A la limite, si elle crevait de froid, Ryan la rechaufferait xD.
Comme à premiere vue, il ne voulait pas bouger, elle s'était resignée à s'assoir à nouveau, enfin à genoux. Mais juste derriere la tête de Ryan. Okay embrouille j'explique mal xD Comme elle était debout précedement, elle n'était pas à coter, mais ses pieds avait été après la tête de Ryan, donc là, Ryan était allongé juste devant elle. Bon merde voila xD *

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