Entrée

*Sa commence a faire un bon moment maintenant qu'il vit ici, enfin un bon moment qu'il rentre ici pour venir se nourrir, et il voit de moins en moins sa charmante colocataire. Aujourd'hui il rentre mais pas a à une heure habituelle, il est pile midi : l'heure de manger. En général lui il vit tout en décaler mais il y a des exceptions. Il arrive tranquillement a la villa, il se doute que la jeune femme sera là mais il ne sait pas encore qu'elle n'est pas seule. Il ouvre la porte tout en soupirant et se dirige vers la cuisine, mais son attention le retient et il s'arrête brusquement dans le salon... Là il voit deux petites fillettes blondes en train de se courir après. Tout d'abord il les dévisage sans gêne et il se demande bien ce que fous des enfants dans cette maison surtout qu'il n'en avait jamais vu ici auparavant. Mais en les regardant bien il s'aperçoit que leurs visages lui sont familiers. Il écarquille les yeux, d'après un petit raisonnement il en vient a se dire que Avril lui a caché bien des choses. Il prends sa tête entre ses mains, les enfants il déteste ça, on pourrait les prendre de n'importe quel côté il ne les aimerait pas : en long, en large , de dos, de profil ça revient a la même chose... Puis il relève la tête cherchant la mère des enfants dans la pièce mais elle n'a pas l'air de se trouver ici. Seulement une odeur de brûler vient lui faire dire qu'elle se trouve dans la cuisine. Il se dirige alors dans ce lieux a toute vitesse ignorant les petites blondes. Là il voit Avril de dos en train sans doute de préparé a manger. Il ne prend pas la peine de lui dire bonjour, il a d'abords besoin d'explication, et il lance froidement. *

"-Qu'est ce que deux gosses font dans cette maison?"

* Notre pauvre canadienne était entrain d'essayer une nouvelle recette prise dans "chef la recette", l'émission pourri d'M6. C'était un poulet au pomme de terre, ce que tout le monde peut faire avant de connaître Avril. Elle n'a jamais été doué au fourneaux et elle réussie même au bout de quelques minutes, a faire cramer ce volaille. Vraiment pitoyable tout ça.. la prochaine fois, la jeune femme s'engagera un beau et sexy cuisinier. Bref, avec un torchon, elle sortit le plat du four pour le balançait sur la table en faillant presque bruler son cher colocataire qu'elle n'avait pas vu depuis quelques mois vu qu'ils ne se croisaient presque jamais. Mais elle fut même très étonné de le voir. *

" J'ai failli cramer un nem.. tu sais que la cuisine est interdite a quiconque quand je suis dedans, non ? "

*Mais même pas la réflexion terminé que celui-ci posa une question d'un ton assez sec. Oula, il n'avait pas l'air vraiment d'apprécier d'avoir croiser ses filles.. mais sachant que ça ne lui plaisait pas, elle lui répondit avec un grand sourire tout en posant le torchon délicatement sur le bord de la table*

"Dans le cas où je te croise jamais, je pourrais te retourner la question te concernant mais je vais te répondre. Ce sont mes filles mais tu n'a pas encore pu les rencontrer malheureusement vu les heures au quels tu te pointes ici..."

*C'était loin d'être désagréable, elle avait dit ça très gaiement.*

*On avait vraiment l'impression que l'Asiatique avait une phobbies des enfants à réagir comme ça. Quoi qu'elle peut le comprendre, elle était pareille que lui quelques années au paravant. Tout ce qui avait deux bras & une petite taille étaient quelques choses d'insupportable a ses yeux. Bref, la jeune femme se retourna suivant du regard celui-ci et s'appuya contre le dossier de la chaise se trouvant juste derrière elle. Elle garda encore le sourire, soupirant une seule fois de désespèrement en son égard.*

" Je t'annonce que tu n'a pas vu le petit dernier dans le salon a ce que je remarque puis tu sais... ils ne sont pas si terrible que ça. Certe, si tu prend la peine de leur dire bonjour tout les jours, il t'aimerons mais vu l'alergie que tu leur porte, évite les et ils t'éviteront. "

*C'était vraiment un simple message d'amitié car si ils décident vraiment de faire chier le cher coloc à Avril, ils le feront enfin les petites le feront. Sam est encore trop jeune pour ça..

Elle reprit son torchon et se diriga à coté du japonais à l'évier. Puis regarda du coin de l'oeil celui-ci assit tout en ne pouvant s'empêcher de sourire..*

" La nounou vient les chercher dans une heure, rassuré Monsieur ? "

*Fin.. elle aurait pu apporter Sam a leur père mais elle n'avait pas le temps alors la nounou se gardera les trois...*

*En réalité il n'avait pas la phobie des gosses simplement il n'aime pas ça c'est tout il n'y a pas de réelles explications. Mais le temps lui apporte une bonne nouvelle, la nounou va venir d'ici 1 heure a peu près pour s'occuper de ces trois petits êtres. Ouf son après-midi va être épargné de cris, de pleure et de tout le reste. Il tourne la tête vers Avril et lui sourit doucement en plongeant son regard dans le sien. Si elle aussi part alors il aura la maison pour lui tout seul, et il pourra si reposé tranquillement mais si elle décide de rester alors il risque de passé une bonne fin de journée... enfin c'est mal de pensé comme ça il faudrait qu'il arrive a gérait un peu mieux ses esprits de pervers car en ce moment plus rien ne vas mais bon toujours plus facile a dire qu'a faire.*

-Oui rassuré et satisfait. Et toi que compte tu faire de ton temps libre cette après midi?

*Il ne peut s'empêcher de lui lancer un regard un peu pervers avec un regard en coin. Mais l'instant d'après ce rendant compte de ce qu'il vient de faire il détourne la tête et soupire. il lève les yeux en l'air, puis descend du plan de travail pour se diriger vers le frigo qu'il ouvre doucement. Il regarde attentivement ce qui se trouve a l'intérieur, puis quelques minutes après il sort de celui-ci un morceau de chocolat. Il vas se rassoir sur le plan de travail a côté d'Avril, il inspecte le chocolat et croque devant, il savoure le goût et la saveur de celui-ci avant de dire a la jeune fille blonde.*

-Excuse moi mais la volaille que tu venais de préparé ne m'inspirais pas grand chose, je n'est pas vraiment envie d'avoir un indigestion alimentaire.

*Il dit ça le sourire aux lèvres en rigolant légèrement, il ne veut pas que celle-ci se vexe on ne sait jamais espérons qu'elle comprenne le grand sens de l'humour de Atsuaki ...*

*Avril commençait à prendre de mauvaise habitude car elle devenait presque impatiente que les filles aille chez la nounou pour être seule avec son colocataire. Celui-ci même plongeait son regard dans le sien, une chose à ne pas faire à notre blonde car ses yeux était irrésistible. Elle lui rendit aussi son sourire en coin avant de répondre à sa question.*

" Je pensais profiter de ta présence pour qu'on continue de.. s'apprendre à se connaître. "

*Bien sur, c'était tout autre chose qu'elle pensait faire en sa présence avec lui et il était surement du même avis. Bref, elle continua sa vaisselle tranquillement le temps que les enfants partent vu que la nounou se faisait déjà entendre avec un " je suis lààà" puis la porte claqua rapidement quand elle partit avec les petits.*

" Je te comprend.. mais même si l'aurait pas été cramé, je t'aurais déconseillé de le manger..car la cuisine et moi, nous ne sommes pas en bon thermes."

*Puis une fois fini, elle se rinça les mains et les essuya avant de regarder Atsuaki d'un air très envieux. Elle se mordit ensuite la lèvre inférieur avant de s'approcher de lui enlevant le chocolat qu'il avait pour s'asseoir sur lui toujours sur le plan de travail, c'est un grand plan de travail x)*

" Maintenant qu'il y a plus les enfants, je suis tout à toi.. "

*Elle déboutonna son haut laissant découvrir la poitrine ne le lâchant pas du regard.*

Bill était mais très très très malade, il venait de se prendre une cuite vraiment méchante et érrait l'air hagard dans les rues de starcitylifedelamort. Son premier reflexe fut d'aller toquer à la porte de son ancienne amie, Avril. Non que ce soit une brillante idée en vue de leur rapport, il esperait que la promesse qu'il avait faite au sujet de la supervisation des règles de ségolène peserait dans la balance et qu'il aurait le droit à un acceuil presque chaleureux.

"AVRIIIIIL CEST MOIIIIII !"

Tom était très très très malade, il revenait de l'hôpital pour cause d'overdose de viagra, et il n'avait nulle part où aller. Il se dit que la seule personne chez qui il pourrait s'incruster sans avoir à s'expliquer serait Avril, son ex Avril. Il avançait, tête baissée, se demandant ce qui pourrait bien lui arriver de pire qu'une overdose de viagra quand il aperçu Bill, devant chez Avril. Il avança à pas décidés vers son frère, et lui tapota l'épaule du bout de son index.

"Hum hum"

Bill qui en quelque sorte était toujours défoncé haussa vaguement un sourcil avant de reconnaitre son frère tentant tant bien que mal de garder sa vodka dans son petit corps d'anorexique signe qu'il était en quelque sorte content de voir Tom.

"Heu salut, toi aussi tu cherches, avril j'crois qu'elle est là haut, j'entend des bruits surement Hayden, on devrait aller voir."

Tom grimaça. L'haleine de Bill puait l'alcool.

"Non non non JE vais aller voir. Toi, t'as rien à faire ici."

Il passa devant.

"En plus t'es bourré. Tu me fais honte."

Bill eut un instant de déconnexion avant de comprendre que Tom était tout bonnement en train de le virer.

"Hé Tom non ! ATTENDS MOIII."

D'un geste rapide et incontrolé il se mit à suivre son frère grimpant les escalier, pas forcément à l'aise avec toute cette hauteur.

"Alors c'est vrai pour le viagra, là c'est toi qui me fait honte."

Au mot "viagra" Tom s'arrêta net, l'air grave, les poings serrés, tentant de retenir sa gène et sa colère contre son frère qui le narguait sur un sujet auquel il voulait absolument éviter d'aborder.

"Qui t'as dit ça ? Bien sûr que non c'est pas vrai, tu sais que j'ai des déjà eu des problèmes mais bon j'ai pas besoin de ça, moi, t'entends, pas besoin de ça."

Il s'était retourné, le visage tout prêt de son jumeau, le fixant.

"Et toi, le pochetron, t'as intérêt d'en parler à personne."

Bill encore sous l'effet de quelques verres dans le nez ne trouva rien de mieux que de se mettre à rire, sans pouvoir ne serais-ce que s'arrêter.

"Pas besoin de ça hein, hahahhahaha."

Bill s'approche de la porte de la chambre d'avril avant de coller son oreille contre celle-ci.

"A qui voudrait tu que j'en parle tout le monde est déja au courant. Lis un peu les magazines pour ados Tom."

Tom se jeta sur Bill et lui mit sa main devant la bouche.

"Mais fait moins de bruit merde, on va se faire repérer ! En plus j'ai pas envie de voir Hayden, je déteste ce type."

Puis, pour s'amuser, tester du degré de lucidité de son frère, il lui susurra à l'oreille :

"J'aurais pas eu besoin de viagra si ça avait été toi"

Avril discutait au téléphone avec Hayden depuis déjà trois quart d'heure pendant que les enfants étaient en mode veille dans leur lit respectif mais elle coupait court à la discussion quand un bruit venait à la déranger derrière sa porte de chambre. Surement les jumelles qui avait du se lever pour foutre le bazarre dans le dos de leur mère.. alors elle allait ouvrir la porte pour voir deux jumeaux venir foutre le bazarre ici..

" Qu'est ce que vous foutez-là vous ? Je n'ai besoin de me fournir ni alcool vu ton Etat Bill et encore moins de Viagra vu ton article de ce matin Tom si c'est pour cela que vous êtes venu. "

Bill aimait bien Hayden, ils avaient passé de bon moments ensembles mais il se demandait toujours pourquoi il était avec Avril ayant les plus grandes difficultés du monde à l'imaginer hétérosexuel, après l'une de leur soirées passées ensembles.

"Ouais t'as raison, moi non plus."

Tom s'approcha alors de lui et Bill eut comme un soubresaut dans son petit coeur.

"Tu sais très bien que je ne couche plus avec personne depuis que j'ai rejoint le club de chastesté après notre 18eme rupture tom."

Avril arriva alors et Bill la devisagea betement tandis qu'elle l'agressait sans état d'âmes.

"Tu nous paye au moins un café Lavigne ?"

Voir Bill et Tom, en même temps en plus, étaient vraiment une surprise -si on peut appeler ça comme ça- à laquelle elle ne s'y attendait pas. Mais bon, ils font plus ou moins parti de la famille alors un sourire devait s'inscruter pour ne pas leur dire de partir.

" Bien sur, Café senseo ou jvous sers un truc dégueulasse en poudre que mon futur mari aime mettre sous de l'eau chaude.. ?"

Avril descendait les escaliers en direction de la cuisine tout en sachant qu'ils allaient bien suivre.

" Ca faisait longtemps que je ne vous avez pas vu.. Vous êtes toujours frèrophile ou un truc de ce genre ?" demandait-elle en sortant trois tasses.

Un club de chasteté ? Mais c'était quoi cette connerie ? Tom aurait sûrement répliqué un truc acerbe dont il a le secret mais il n'en eut pas le temps, coupé par Avril qui leur balançait un flux(?) de reproches à la gueule. Il s'y attendait. Rien de grave. Il s'attendait aussi à ce qu'elle leur offre à boire, finissant par culpabiliser d'une telle inhospitalité. Après tout, ils avaient tous trois partagés le même lit. Un café, après ça, c'était la moindre des choses.

"Moi je veux bien un caf...."

Il s'arrêta, la bouche semi ouverte, déconnecté. Avait-elle bien dit "mon futur mari" ou était-ce les effets du viagra qui tardaient à se dissiper et le faisaient encore délurer ?

"Non, Bill et moi on ne couche plus ensemble, c'est fini tout ça, juste une erreur de parcours. Mais apparemment toi tu te tapes toujours Hayden, hiiin ? Heureusement qu'il n'est pas là, on sait jamais ce qui peut se passer, entre lui et Bill, tu sais . . ."

Avril n'avait eu aucune réponse concernant le choix du café alors elle fit un choix simple: la senseo. Elle prit trois dosettes et enclencha l'option trois tasses en un. C'était la machine version limité des soirées partouze.. surement en l'honneur des Jumeaux pour un soir passé en commun.

" Oui, je me tape toujours Hayden car c'est le seul Gay que j'ai connu qui est arrivé a ne pas partir ailleurs, pour le moment."

Café pret, elle prit les tasses a couleur vive pour les tendre à Bill et Tom.

" Je sais jamais ce qui peut se passer entre Bill et mes futur maris, une habitude que j'ai prise, t'inquiète pas. Mais alors tu es quoi as présent ? Hermaphrodite ? Solitaire ?.."demandait-elle avec un sourire qui se voulait aimable.

Like a Virgin, touched for the very first tiiiiime ! Like a viiiirgin.
Madonna était la reine de la provocation et c'était la chanson parfaite pour recevoir en ce jour Tom Kaulitz.
Je lui avais envoyé un texto la veille au soir pour lui demander si il voulait bien venir à la maison. Je déprimais à cause d'Hayden qui était trop proche, selon moi, de son ex-femme. Je ne voulais pas sauter sur Tom, ni même l'emmerder avec mes soucis mais seulement une présence à mes cotés.

Je rangeais les paquets de sucreries que j'avais laissé avant de me coucher sur la table et les remplaçais par mes merveilleux cookies, biscuit que je faisais toujours dès que je recevais du monde. Je détestais de proposer à manger...

Je regardais l'horloge, 15h. cela devrait faire une demie heure que la nourrice devrait être revenue. Peut-être qu'elle ne l'a pas retrouvé. J'allais me changer pour recevoir correctement le PERE DE MES ENFANTS. Je mis un jean slim, un débardeur noir... Le confort avant tout ! Je décidais, une fois prête, d'envoyer un texto à Tom afin qu'il sache qu'il pouvait venir.

Vrrrm Vrrrm. Le vibreur de mon portable m'indique que le facteur est passé. N'ayant plus de contact avec personne depuis mon dernier voyage en Angleterre, ma surprise est de taille quand je découvre que le message provient d'un numéro que je ne connais que trop bien. Pour sûr, ce n'est rien d'autre que mon ex-presque-future-femme et la mère de mes enfants qui m'invite chez elle à goûter. Je pose le portable, surpris. Que faire ? Moi qui voulais éviter de rencontrer Avril et même Bill. Mais la ville est assez petite, je ne pouvais faire le mort indéfiniment. Décidé, je réponds :


J'enfile un tee-shirt de Céline Dion, souvenir d'un concert inoubliable d'il y a déjà bien un an, et sort de chez moi. Bien du temps s'est écoulé depuis et je me demande ce qu'Avril a pu devenir. J'avais tout foiré avec elle, comme avec mon frère, avec tout le monde en fait. Mon attirance pour mon frère jumeau m'avait rendu fou et c'est pour cette raison que j'avais préféré m'éloigner, espérant me détacher de tout ça. Je ne sais pas comment je pourrais réagir à présent, si je les revoyais. J'en avais délaissé mes filles, incapable de m'en occuper, trop honteux de leur montrer un père aussi pitoyable.
Déjà devant chez Avril. Mes pas m'y avaient mené sans que je m'en rende compte, l'habitude était restée. Après une grande inspiration, j'osais frapper à la porte.