terasse et piscine

Mais de quoi ?

* Si elle ne mourrait pas vieillesse, c'était de peur. Elle avait encore sa fille dans ses bras lorqu'on avait sonné à la porte.
Elle s'était donc dirigée vers cette derniere, l'ouvrant alors, decouvrant deux jeunes gens et des policiers derriere. Elle se recula *

Mais qu'est ce qu'il se passe !

=> Nous sommes de la DAS, nous avons été prevenus des coups que vous faisiez subir à votre enfant ...
Veuillez la lacher s'il vous plait.

* Elle se retourna vers Orlando, ne comprennant plus rien. La femme avait prit Océane, l'arrachant presque des bras de sa mère. Elle avait tenté de la reprendre mais un policier l'avait tenu. Elle n'avait pas mit longtemps avant de pleurer et de se jetter dans les bras de son mari *

=> Vous n'obtiendrez certainement pas de gardes ni de visites.

* Ils étaient partis, ayant refermer la porte. Elle s'était effondrée à genoux au sol *

* Si Orlando osait même demander pour verifier si Nat avait frappé sa propre fille, elle irait se jetter. Elle avouait que la tentation de lui demander à lui, son mari, l'a tenté. Elle savait qu'Orlando ne pouvait pas faire une tellechose, mais comment à telle pus avoir de ces gros bleus, multiples sur son corps. *

* Elle était restée à genoux au sol, elle ne le regardait pas. Elle ne voyait pas comment ils pourraient s'en sortir puisqu'ils avaient bien precisé qu'ils n'obtiendraient jamais de visite. *

* Quelqu'un sonna à la porte. Orlando était allé ouvrir. C'était l'un de leur bons amis, calé en medecine puisqu'il était medecin. *

=> J'viens voir des gens de la DAS avec la petite, qu'est ce qu'il s'passe ?[/b]

* Elle s'était assise, n'écoutant même pas leur conversation. Elle revoyait encore cette scene où on lui avait presque arraché sa fille de ses bras, l'entendre pleurer lorsqu'ils l'emmennaient ... Et surtout, le fait qu'elle ne pourrait plus la revoir jusqu'à son concentement ... Elle ne pourrait même pas la voir grandir ... Rien. Si elle avait une bonne étoile au dessus d'elle, c'était maintnant qu'elle devait agir *

* Natalie avait le regard dans le vide, perdu dans ses pensées. A vrai dire, plus rien ne pouvait la préoccuper telle qu'elle était maintenant. Mais elle releva la tête lorsque leur ami eut fini de parler. *

Et comment ? Aucuns de nos proches et amis n'ont le droit de la voir, parce-qu'ils ont peur, soit disant, que quelqu'un influence ma fille.

* Le medecin avait sorti son telephone. D'après ses paroles, il devait certainement être en train de parlé avec la gérante de la DAS de philadelphie. Lorsqu'il avait raccroché, son coeur c'était arreté de battre. Elle avait peur de ce qu'il allait dire. *

=> Ils m'ont dit qu'ils ont decouvert un autre bleu sur elle. Sur sa cuisse.

Quand je l'avais dans mes bras, elle ne l'avait pas !

=> Si elle ne l'avait pas c'est qu'elle a du l'avoir au centre d'accueil.

Et ce n'est certainement pas eux qui frapperait un enfant ...

=> Vous allez la diagnostiquer à ma place. Le juge est l'un de mes bons amis, je vais tenter d'obtenir un droit de visite.
Si vous voyez des taches grises au dessus de sa pupille, c'est que votre enfant est atteind de la maladie des os de verre.

=> Ils n'ont rien voulu entendre au centre d'accueil. Soit disant, ils ont deja un bon medecin competant ...

* Natalie allait explosé. C'était trop pour elle. Elle allait pour se levé, bouger un peu, lorsque leur ami avait à nouveau le telephone proche de son oreille. A vue d'oeil, il telephonait à son ami, le juge. Elle s'était levée pour se blottir dans les bras de son mari, sur le canapé d'en face. Elle en tremblait. *

* Lorsque le medecin avait raccroché, elle l'avait regardé avec des yeux de chiens battus. *

=> Il va telephoner au centre d'accueil pour donner son accord pour cette visite.

* Un sourire c'était donc illuminé sur le visage de Natalie, qui avait serré son mari dans ses bras. *

* Elle était à la fois rejouite, mais anxieuse. Elle avait peur de ne pas decouvrir ces taches grises dans les yeux de sa fille ... Même si au fond, elle ne voulait pas que sa fille ait cette maladie. Elle était vraiment perdue, et elle ne savait plus ce qui était le mieuxdu mauvais. *

=> Allez y desuite. Je vous accompagne, mais je vous attendrez sur le parking.

* Elle s'était levée, enlacant alors son ami, le remerciant une dizaine de fois à la suite. Ils étaient à present tous les trois dans la voiture. Le medecin conduisait, Natalie se rongeait les ongles, morte d'inquietude, et Orlando fixait la route. *

* Lorsqu'ils étaient arrivés, la dame les avait accompagné dans le couloir. Elle avait demandé d'attendre ici. Un : " Popaaa Momaaan " se fit entendre. Le sourire de Natalie c'était donc accentuée, et elle s'était accroupée pour prendre sa fille dans ss bras, sa fille qui avait accourru vers elle *

Mon trèsor tu m'as tellement manqué.

* Elle l'avait gardé contre elle un bon moment, l'embrassant sur le front avant de la reprendre une nouvelle fois contre elle. Mais l'instant où son coeur c'était arreté de battre arriva. Elle était encore accroupie pour être à la hauteur d'Océane, mais legerement reculé. *

Ma puce, montre tes yeux à maman.

* Elle regardait ses yeux. Au bout de quelques instants, elle l'avait re-serré contre elle, regardant Orlando, en faisant un signe "oui " de la tête. Elle avait ses taches grises. Ce qui prouvait qu'elle allait rentré à la maison, mais que d'un coté, elle était fragile. Qu'au moindre petit coup, elle aurait un bleu ou un os cassé. La maladie des os de verre. *

* Elle avait donc prit Océane dans ses bras, sortant de là, sans même adresser quelconque regard, quelconque sourire aux gens qui lui avaient volé sa fille. Lorsqu'ils étaient arrivés sur le parking, leur ami s'était pointé devant eux. *

=> Alors c'était bien ça ?

* Elle avait hoché la tête d'un regard triste et mélancolique *

Qu'est ce qu'il va se passer maintenant ?

=> Je vais la mettre sous traitement. Il faudrait que vous iriez voir sa maitresse d'école, et faire très attention à ce qu'elle ne se cogne pas, et prevenir ses frères et soeurs.

* Elle avait regardé le père de sa fille avec un regard pas très heureux. Vu les circonstances, il en était donc très logique. Orlando semblait vraiment inquiet et désesperé pour sa fille, elle le lui avait donc confié, pour qu'il la prenne dans ses bras, la gardant contre elle, pour la rentrouvé ... *

=> Cette maladie est extremement rare ... Il n'y a donc pas de grandes recherches qui sont realisées. Nous n'avons donc que ce type de traitement. C'est un concentré en vitamines et d'actions qui renforcent les os. Océane peut facilement se casser un os avec cette maladie ... Mais, si rien n'a été trouvé dans les années de sa vie, elle l'a gardera à vie.

* Pauvre petite, elle avait du subir les absences de son père, et à sa naissance, le rejet de sa mère. Maintenant, elle subissaitune maladie rare et assez lourde à porter ... Elle avait donc esseyé de lui sourire, l'embrassant sur le front, et caressant ses petits cheveux, tout en la laissant à Orlando *

=> Je vais retourner à mon cabinet, mes rendez-vous ne vont pas tarder à arriver.

* Natalie s'était donc approchée de lui, l'enlacant *

Merci ... Sans toi, nous aurions jamais rien découvert et Océane serait partie dans une famille inconnu.

* Après de multiples remerciments, le couple était monté dans la voiture pour rentrer chez eux. Océane s'était endormie. Natalie avait passé ses mains sur son visage. Elle ne parlait pas. Elle ne savait pas si elle tiendrait le coup de voir sa fille comme ça, de lui donner les medicaments, de soigner ses bleus et fractures ... Elle n'était pas assez forte pour ce genre de situation. *

* Océane c'était endormie dans la voiture. Elle l'avait donc prise dans ses bras, faisant en sorte qu'elle ne se reveille pas. Elle était directement montée à l'étage pour la coucher. Elle était restée accroupie devant son petit lit, caressant ses cheveux. *

On veillera sur toi ma puce ...

* Elle l'avait embrassé sur le front avant de se lever, pour rejoindre son mari. Elle s'était assise à coter de lui, posant sa tête contre son torse, l'enlacant de ses deux bras. Elle ne voulait pas craquer non, elle voulait rester forte pour sa fille. *

Je n'arriverai pas à dormir de toute façon.

* Son regard était perdu dans le vide. Sa fille était victime d'une maladie rare qu'on ne pouvait soigner. Comment pouvait-elle dormir après ça ? *

Quand il n'y aura plus cours, et qu'elle sera en vacances, ça serait bien qu'on l'emmene en voyage, dans des pays exotique.

* Oui, elle voulait que sa fille ait une enfance très heureuse malgrè son handicap. *

* Oui, cela avait rendu Natalie plus sainte d'ésprit et beaucoup plus intelligente au niveau " idées ". *

Elle a toujours revé de nager avec les dauphins...

* Elle était anéantie. Elle s'était levée. *

J'suis desolée.

* Elle avait marché en quadruple vitesse vers les escaliers, en pleurant. Ca y est, elle craquait. Elle était montée dans sa chambre, se jettant sur son lit, tappant sur son lit. *

* Elle était allongée sur le ventre, l'oreiller contre sa figure où perlaient de multiples larmes. Il y avait trop de pression et de douleur de savoir ce que sa fille devrait subir ... Elle s'était retournée, allongée sur le ventre, la tête sur les jambes de son mari. Entre deux larmes, elle esseyait tant bien que mal de parler. *

Qu'est ce qu'il se passe pour que tout ça nous arrive d'un coup ?

* ... *

Ce mois-ci, ça ne va presque jamais entre nous. Océane a une maladie grave et rare ... C'est quoi la suite hein ?
Yohan qui fuge? toi qui repart en tournage? Un divorce ?

* Elle n'était pas calme du tout, elle pleurait tellement ... *