*Bon le truc c'est que le string en bonbon, après, il n'en restera plus rien, mais bon, les vendeurs ne pourront pas s'en apercevoir justement xD enfin, si, il restera la ficelles qui tenait les bonbons. Au pire, Hayden, il leur fait un bon chèque, en espérant qu'ils tiennent en plus le secret. Il n'a pas envie d'être dans tous les magazines, en première page, où ça serait marqué : "Hayden Christensen, le fiancée d'Avril Lavigne, surpris dans une cabine avec une inconnu qui lui faisait goûter à de nouveaux plaisirs gourmands". Oh, et puis, après tout, il s'en fichait. Oui, à ce moment, c'était assez surprenant, mais, Avril était partie loin de sa mémoire. Il se croyait dans un rêve où il n'y avait que lui et Léona. Et cette jeune femme, ça représentait pour lui un beau fantasme. Il se croyait dans un rêve, mais c'était la réalité, alors, imaginait comme Hayden était.
Il n'hésita pas une seconde, il s'accroupit dans la cabine, et colla ses lèvres contre les jolies fesse de la demoiselle, et puis, ses dents allèrent chercher les bonbons. Il commença à tirer dessus et à les dévorer, un par un. Ses mains ne touchaient pas aux bonbons, il n'y avait que ses dents. Non, ses mains tâtaient sans relâche les fesses de Léona. Les bonbons disparaissaient à une allure folle, et quand il avait fini de faire les bonbons du derrière, il fallait qu’il passe au devant. Il passa en dessous des jambes de Léona, et se mit devant elle, toujours accroupit au sol. Il remit ses mains sur ses fesses, et commença à dévorer le devant. Malheureusement, c’était un string, et qui dit string, di peut de bonbons dessus. Arf, il y en avait déjà plus aucun au bout un petit moment, Hayden leva alors ses yeux vers la jeune femme et après un air coquin, et colla ses lèvres au niveau de la féminité de Léona, qu’il caressa de la langue au passage, et tira sur le bout de ficelle pour l’arraché avec ses dents. Il ne savait pas si ce genre de chose plaisaient à la jeune femme, mais, lui, étant un mec, il n’avait pas eu beaucoup l’occasion de faire ça dans sa vie, et ça lui plaisait assez.*