Chambre 2 places

* Elle en avait marre d'être allongée tel un légume attendant que la mort vienne prendre son âme. Elle ne pouvait bouger à cause de sa cervicalle encore cassée, et le fait d'être restée autant allonger dans se lit, lui avait donné des fourmis aux jambes. Elle était prete à raler pour pouvoir sortir de cet endroit qu'elle ne portait guére à son coeur, mais elle savait que c'était dangeureux. Sa cervicalle qui ne s'était pas encore remise pouvait lui couter la vie, et là, elle ne voulait pas mourrir. Elle esperait néanmoins qu'Orlando resterait encore près d'elle comme il était resté durant plus d'un mois. Mais d'un coté, elle se sentait coupable de le faire rester là. Un hopital n'était pas vraiment un endroit romantique et de plus, rester près d'une personne malade n'était généralement pas facile. *

Justement, j'en ai marre de me reposé. Je n'arrive même plus à sentir mes jambes tellement que j'en ai des crampes à rester allonger et à attendre qu'on me dise que je vais mieux et que je sortirai le lendemain. Les enfants me manques énormement et j'ai envi d'être dans tes bras.

* Elle avait respiré un bon coup après avoir deboulé cette phrase en une seule fois. Nom de dieu, cette chambre était affreusement vide. Il fallait la repeindre en rose bonbon et mettre des fleurs et de la déco nom de dius. En tout cas, là, Natalie avait vraiment faim. Elle n'avait casiment rien mangé ces derniers temps et en plus elle sortait d'un lourd et profond coma. *

Putin j'ai faim ...

* Oui, Natalie l'avait dit, elle en avait marre d'être làalors elle ne pouvait que raler. C'est sur qu'elle n'allait pas monté sur le lit, à faire olé olé à poil, en signe de joie ... Vive la logique ... Pauvre Orlando qui devait encore supporter Natalie jusqu'à ce que la mort les sépare ...Et encore, immaginons Natalie et Orlando au Paradis ou cette femme poursuiverait son mari avec un rouleau à patisserie en main. Non, jamais Natalie lui ferait ça. Elle l'avait deja attaqué une fois et ça avait faillirt lui couter un divorce et une mort. Enfin bon, tout ça pour dire que Natalie voudrait bien degager de ce lit dont le matela était horriblement trop dur. *

J'aime pas ces draps, ils grattent ...

* Elle avait eu la voix d'une fille malheureuse et non pas d'une fille qui était chiante à raler tout le temps. Alors, difficilement, elle se redressa sur le lit, sans bouger la tête. Après un gros effort monumental, elle était assisse sur ce dernier. Sa cicatrice l'a gratté, c'était ignoble. Mais le problème, était que comme ça, elle ne pouvait voir Orlando. Alors elle se tourna doucement pour être assise au bord du lit, face à lui, les jambes dans le vide. Ah c'était mieux, comme ça, elle le voyait entierement et en grandeure nature. Comme Orlando s'était levé au même moment, Natalie avait posé ses mains sur les hanches de se dernier, collant son front contre le torse de son mari en evitant de ne pas faire trop de geste avec son cou. Si une infirmiere entrait au même moment, elle se prennait un poing dans sa gueguele. *

Embrasses moi ...

* Oui, Orlando lui avait affreusement manqué. Elle avait fait remonté ses mains jusqu'au torse de ce dernier, en reculant bien evidement sa tête. Elle avait relevé son regard vers celui de son mari. Un regard qui avait retrouvé toute sa joie et qui pétillait d'amour. Mais au moment où ils allaient enfin s'embrassé, une petite pimbéche d'infirmiere cramoisie entra dans la chambre, un plateau en main. Et ben, on pouvait crever la dalle ici dites moi. *

Ca tombait bien, j'avais affreusement f...

* Mais Natalie tomba de haut en voyant la gueule du plat. Si ce truc était comestible, alors, les poules avaient des dents ... Parce-que là, ça ressemblait à rien du tout. A si : cela ressemblait à du paté pour chien. *

.. faim.

* Natalie avait sorti ce mot dans un profond soupir de desespoir humain. L'infirmiere était sortie de la chambre, et Natalie grimacait d'horreur devant l'assiete. Elle avait prit le verre d'eau qu'elle but cu sec, avant de prendre la fourchette et de goutter au plat. C'était potable, mais plus vers le degueulasse. Tant pis, après quelques instants, elle en avait mangé la moitié, s'arretant alors là. Elle prit la pomme verte, seule chose vraiment potable sur ce plateau, qu'elle mangeait doucement. Elle haissait vraiment les hopitaux. Elle avait repoussé ce fameux plateau lorsqu'elle avait terminé, se retournant alors comme avant, pour être au bord du lit. Malheureusement, ORlando s'était assis. Elle le regardait d'un air de chien battu. *

Tu sais, je me sens vraiment en pleine forme pour sortir d'ici ...

* Elle avait enlevé le drap qui couvrait ses jambes, pour se mettre debout. Lorsque ce fut fait, elle se tennait tout de même au lit, et là, Orlando s'était levé. Il avait esseyé de choper Natalie pour la remettre dans son lit, mais elle avait reussi à lui tenir tête et à lui faire abandonner son idée. *

Embrasses moi d'abord.

* Elle eut alors un regard pétillant et malicieu, ainsi qu'un sourire radieux et heureux. Oui, elle lui avait fait un chantage, mais c'était pas trop dur pour un mari d'embrasser sa femme. Natalie en mourrait d'envie, elle n'en pouvait plus de ne plus être contre ORlando, mais dans un lit trop dur où les draps grattaient affreusement. Non, ce qu'elle revait à cet instant, c'était un diner aux chandelles, avec un beau cadeau, et un feu de cheminée, où était placé un tapis moelleux à coter, où Natalie et ORlando feraient danser leur corps, l'un contre l'autre, dans une folle nuit d'amour et de passion. *

[Isa ne fera pas aussi long, elle a pas la force xD]

*Orlando était assez bien placé pour savoir que sa femme était en forme. Son mois dans le coma lui aurait-il donner la pêche, et l'aurait-il changeait ? En fin de compte, peut être que cet accident n'était pas qu'une mauvaise chose. Il avait l'impression qu'elle avait reprit goût à la vie, qu'elle ne broyait plus du noir, et que tout était redevenu beau. Les éléphants roses volent dans le ciel... --". Enfin, c'était bien de la voir comme ça, mais, c'était assez étrange, elle était vraiment en pleine forme. Il faudra qu'il se renseigne sur les médicaments qu'ils lui ont injecté, on ne sait jamais, au cas où elle aurait une chute d'humeur, qu'il puisse lui redonnait pour qu'elle redevienne comme ça.
Il lui sourit, même si elle râlait, ça lui faisait de bien de l'entendre parler après tout ce mois.*

Si tu veux, j'appellerais chez ma mère pour qu'elle amène les enfants afin que tu les vois.

*Pour le câlin, il hésitait vu qu'ils étaient tout de même à l'hôpital. Alors, il préféra ne pas en parler. De toute façon, elle avait très vite changeait de sujet avec la qualité des draps. il haussa les épaules, il n'y pouvait rien lui.*

La prochaine fois, rappelle-moi de te commander une chambre avec des draps de soie.

*Et puis, après, natalie voulait qu'il l'embrasse. Il en demandait aussi que ça. Après ce long moi, il avait le besoin de l'embrasser tendrement, de la serrer dans ses bras, etc. mais, comme dans un hôpital rien n'est bien, l'infirmière arriva juste à se moment. Il se décolla d'elle, et puis, il laissa l'infirmière posait le plateau de sa femme qui mourrait de faim.*

Bon appétit chérie.

*En fait, en regardant ce qu'il y avait dedans, même si ce n'était pas pour lui, il n'aurait pas aimé. C'est sur que l'hôpital c'est pas un restaurant cinq étoiles. Il la laissa mangeait tranquillement. Puis, elle se leva et lui de même.*

Tu n'es pas en état Natalie chérie....

*C'était un petit chantage qu'elle lui faisait, alors, il allait céder, surtout que sinon, elle ne se rallongerai pas.
Il se pencha sur elle et l'embrassa passionnément, mais en faisant attention de ne pas lui faire mal , et il était alors presque allongé sur le lit avec elle. Ce n'était pas un super endroit pour ça, mais, il avait beaucoup de chose à rattraper avec sa femme, me^me si on pouvait les voir, il s'en fichait, les gens ne savaient pas comment était la dureté de toute cette attente.*

* Elle continuait à regarder son assiete avec dégou, avant d'y gouter quand même. Elle avait apporté trèèèèès lentement la fourchette à sa bouche, avant d'equarquiller les yeux et d'avaler mais alors difficilement. *

" Rassures moi que j'cuisine mieux que ça quand même ? "

* Elle regardait Orlando avec crainte et dégou de la nourriture qu'elle vennait d'avaler avec force. C'était hallucinant. Comme à la cantine quoi : comment on peut faire un truc aussi dégueulasse à base d'aliments sains et bon ? *

" Tin un bon macdo là ça serait le bonheur t'sais. "

* Natalie qui voulait se manger un macdo ? Effectivement, c'était du changement. Elle qui detestait ça parce-que c'était malsain et très gras ... Enfin bon, elle avait continué à manger mais uniquement parce-qu'elle crevait la dalle. Après plusieurs bouchées, elle ne voulait plus, c'était à en gerber. Elle repoussa l'assiete. *

" Bien sur que si que je suis en ét... "

* Mais non, elle n'avait pu finir sa phrase. Orlando là, casiment sur elle, ses lévres contre les siennes. Elle qui voulait son baiser, elle était comblée. Elle avait passé une main dans ses cheveux mi-long attachés et l'autre se balladait sur son dos. Tout ça en prolongeant se baiser qu'elle avait tant attendu. *

*Orlando ne pouvait pas vraiment répondre à la question de sa femme, vu qu'il n'avait pas goutté à ce qu'elle avait eu à manger. mais, c'est vrai, qu'à sentir l'odeur, et à en voir l'aspect, ça donner pas vraiment envie de manger.
Il regarda l'assiette de sa femme avec un certain dégout, et sa tête légèrement mise vers l'arrière.*

Coté odeur et aspect, c'est sur que ce que tu fais est beaucoup plus appétissant, par contre, le gout, je ne peux pas te le dire, je n'ai pas goutté.

*Il avait beau être là depuis un mois, vu que son hospitalisation avait durée pour lui moins d'une journée, il n'avait pas eu le droit au service de la cantine de l'hôpital, il devait aller s'acheter son manger dans un petit magasin qui se trouver dans l'hôpital.*

Oh, oui, un bon MacDo, et si tu veux, je te prend plusieurs menus enfant et tu as les cadeaux avec .

*Il lui fit un grand sourire, il voyait bien sa femme en train de joué avec des petits jouet. des micro Priscilla qui chante tout seuls, ou des objet lumineux.
Enfin, pas le temps pour ça, Orlando préférait largement donner un bon et long baiser à sa femme, n'hésitant pas à être allongé sur le lit sans y être invité. il avait besoin de son corps contre le sien après tout ce mois. c'était un homme, n'aillant pas voir d'autres femmes, il fallait bien qu'il fasse quelque chose pour satisfaire ses désirs.*

Chérie, Je sais pas si on a le temps d'aller autre part, j'ai tant besoin de toi.

*Il recolla immédiatement ses lèvres contre celle de sa femme pour l'embrasser avec une certaine fougue.*

* Ah oui carrément. A peine elle était reveillée qu'Orlando voulait se la tapper. C'était bien un mec ça. Non, pas qu'elle n'en avait pas envi mais elle aurait preferé qu'il attende encore un peu. Enfin bon, elle n'allait pas non plus le repousser et lui dire " parles moi un peu avant ... ". Mais si Orlando pouvait avoir l'idée de fermé la porte à clef, ça serait bien. Elle avait prolongé le baiser d'Orlando et elle avait fini par se lever du lit passant sa main dans ses cheveux à elle, avant de s'avancer vers la porte et donc, la fermer à clef. Là, elle pouvait montrer sa joie, le bonheur qu'elle ressentait de retrouver enfin Orlando, l'aimant toujours autant. Elle avait courru vers lui, se jettant dans ses bras et le serrant fort contre elle. *

" Tu m'as tellement manqué mon amour. J'avais tellement eu peur que tu ne veuilles plus de moi après notre dispute. "

* Elle l'avait embrassé avec plein d'amour et de passion, avant de le regarder à nouveau, posant ses mains sur son visage à lui, et delui sourire, le regardant d'un regard pétillant de bonheur. *

" Tu n'as même pas idée à quel point je peux t'aimer. "

*Les mecs ne pensent qu'à ça, c'est pas vrai ? Bon, il avait peut être était un peu fort là, vu qu'ils étaient tout de même dans un hopital, et puis, que la porte n'était pas fermé, c'était ça le pire. Bon, après, il y avait des petites vitres, mais, qui regarderait par ces fenêtres ? Personne.
Orlando avait besoin de sa femme, après un mois, merde, c'était compréhensible, il fallait qu'il exprime sa joie par son corps.
Il l'avait laissé aller fermé la porte, pendant qu'il se passer sa main dans ses cheveux en souriant, l'air de dire : " ah oui, c'était une chose que j'avais oublié".
Puis, elle était revenu vers lui, et il l'avait serrée fort dans ses bras, l'embrassant vite fait avant qu'elle parle.*

Toi tu as dormi pendant un mois, j'ai du moins te manqué que toi tu m'as manqué !
Un mois à te regarder sur ce lit, à me dire que je ne pouvais pas t'embrasser, c'était l'horreur !

*Il avait vite rit avant de passer sa main dans les cheveux de sa femme et de la regarder en souriant.*

Je n'aurai pas pu vivre sans toi, j'étais forcément obligé de vouloir de toi.

*Il poursuivit le baiser que sa femme lui donna avec tant de passion avant de la regarder de même dans les yeux, remplis de bonheur comme les siens.*

Toi non plus tu n'as pas idée comme cette amour me dévore le coeur.

*Il l'embrassa avec tant d'amour, et si longtemps, ne voulant pas arrêter ce moment qui était si beau...même dans un hopital au mur tout moche .*

* Cela faisait longtemps qu'Orlando ne lui avait pas du d'aussi belles phrases qui étaient vraiment sincéres, et ça, ça l'a reboosté et lui donnait encore plus de courage de s'en sortir, de vivre heureuse et vaincre son anorexie, surtout après cette dure période où Orlando l'avait plus ou moins quitté. Malgrè la chambre qui était morbide, l'amour y ressorter. Certe c'était un contraste très visible, mais là, il y avait deux êtres qui s'aimaient tellement et qui voulaient se retrouver après une bataille et un coma. Alors elle avait prolongé le baiser d'Orlando passant ses mains sous son t-shirt, sentant à nouveau sa peau si chaude et douce. Elle était tellement bien comme ça, serrée dans ses bras comme une petite princesse sans defense, ses lévres contre les siennes. Elle l'avait fait gentillement tombé sur le lit avant qu'elle se remette à nouveau dans ses bras, faisant descendre ses lévressur son torse doux et musclé. et Anaïs devait partir manger . *

*Heureux de l'avoir retrouver, et surtout qu'elle est aussi retrouver sa joie de vivre, qu'elle arrête enfin de voir que du noir. D'un coté, elle allait voir autre chose que du noir, parce qu'Orlando en l'embrassant lui donner tout l'amour qu'il pouvait lui donner. Il l'aimait tellement qu'il voulait qu'elle le ressente dans ses baisers, dans sa façon d'être avec elle. Le noir sera surement remplacé par du rose. (Je vois la vie en ROoooOOOOoseeeeeeeeeeeeeuh).
Il la tenait dans ses bras, même allongé sur le lit, et là, il n'arrêtait pas ses baisers. Natalie passer ses mains sous le tee-shirt de son mari, pendant que celui-ci essayait tant bien que mal de lui enlever cette fichue tunique bleu de malade. Il avait oublié que la fermeture était derrière. Alors ses mains parcourait à l'aveuglette du coté de la poitrine de sa femme sans rien trouver.*

* Très sexy, une chemise d'hopital bleue en vente pour seulement 5 euros. 5 petits euros, c'est une offre exeptionnelle pour vos folles nuits d'amour ou pour des rendez-vous coquins. Serieu, il fallait vraiment que les infirmiers pensent à changer ces horribles chemises ... Comme Orlando tattait la poitrine de sa femme alors que la fermeture était derriere, cela aurait été mieux qu'il l'arrache. Même beaucoup mieux. Mais elle ne l'avait pas pensé assez fort. Il avait trouvé la petite ficelle qui attachait la chemise d'hopital, et très vite, Natalie se retrouvait nue tandis-qu'Orlando avait encore son pantalon. En l'embrassant, elle lui faisait un massage sensuel sur le torse, avant que ses mains ne descendent vers son pantalon qu'elle deboutonna. Elle l'avait fait doucement glisser avec son pied avant que se dernier ne tombe au sol. *

* 5 €uros ! T'es généreuse ! Un euro est pas plus. la matière n'(était vraiment pas agréable, ça gratté, et Orlando le sentait en touchant sa femme. C'était elle qui avait enlever cette horreur, au moins, Orlando n'avait pas eu à chercher plus longtemps, et alors ses mains était sur ses seins nu, mais si doux, et chaud.
Orlando avait fini par se retrouver sans son pantalon, c'était mieux, au moins, si quelqu'un passé par la , il ne le prendrait pas pour un pervers qui veut voir les malades nues.
Enfin, la chose que les pervers ne faisait pas, c'était de prendre avec autant de tendresse et d'amour les femmes dans leur bras et de l'embrasser comme il le faisait à Natalie.
Il enleva alors son caleçon et caressa la joue de Natalie. Et alors, il l'embrassa dans le cou, et puis sa poitrine, et comme il était sur le lit avec elle, il put se permettre de lui embrasser son ventre.*

* C'était nettement plus agréable d'être nue sans se vetements, enfin si on pouvait appeller ça unv etement, horrible qu'elle portait. C'était clair que sa grattait énormément et c'était donc insuportable. Elle sentait à nouveau le corps chaud et nu d'Orlando contre elle, après plus d'un mois de coma et quelque ssemaines de dispute et de pseudo-divorce. Ca lui faisait tellement de bien de le retrouver comme ça qu'elle en demanderait à ce que le temps s'arrete net pendant plusieurs heures. Les baisers qu'orlando lui donnait le long de son corps lui procuraient quelques agréables frissons qu'elle n'avait plus ressenti durant plusieurs semaines. Elle le laissait faire, et son sourire s'accentua. Elle avait attendu qu'il remonte v ers elle pour l'embrasser à nouveau avant qu'Orlando ne l'amene à un petit coin de paradis que seuls les petits anges amoureux ne pouvaient visiter. Par contre là, Natalie retennaient la pulsion de ses cris. *

*Les anges devaient surement être très surpris de revoir Natalie et Orlando après beaucoup d'absence. ça remontait à...piou, très longtemps la dernière fois qu'ils avaient fait l'amour tous les deux. Enfin, vos mieux ne pas l'avoir fait pendant longtemps et que ce plus fort à présent, que de le faire tout le temps et de finir par s'en lasser. C'est sur que pour en profité, l'hôpital, c'était pas le meilleur endroit il faut dire. Il aurait beaucoup aimé entendre les cris de Natalie et les partagés avec elle, mais il ne pouvait pas tout avoir. Il était à l'hôpital, et il y avait des mémés, des pépés, des gens handicapés (qui serait surement jaloux de ne pas être en état pour le faire), ou normaux et des enfants qui venaient voir les blessés.
Il y avait en clair de tout ! Bien sur, sauf les animaux qui n'étaient pas autorisés à cause des allergies qui pouvaient se réveiller.
Bref, Orlando se contenait aussi de ne pas faire de bruit, mais, ça n'enlever pas non plus le bruit de ce vieux lit de ferraille qui grincer avec le rythme et els mouvements d'Orlando de plus en plus rapide.*

* De plus en plus rapides et très exitants. Elle voulait hurler face au plaisir qu'Orlando lui procurait, mais elle ne pouvait pas, elle était obligée de se contenir. Et pour ne pas que les cris sortent, elle avait embrassé son mari avec passion.L'atmosphére était devenue très chaude, et Natalie, tout comme Orlando, bouillait de plaisir. Ca lui faisait tellement de bien de le retrouver comme ça, et aussi perfomant qu'avant. Ouais, elle en avait de la chance, elle avait un mari qui l'aimait, qui tennait à elle, qui la proteger et qui faisait divinement bien l'amour. *

* Tout cet amour avait été longuement partagé. Mais Orlando, autant épuisé que sa petite femme chérie, avait arreté. Il avait tout donné, et même si les amoureux étaient autant épuisés, ils étaient tout simplement heureux. *

*Toute bonne chose on une fin. Orlando n'allait pas mourir sur place en faisan,t l'amour à sa femme parce qu'il aurait été tout tout tout tout tout au bout de ses capacités. Il s'était arrêté, parce qu'il était épuisé, et qu'il faudrait qu'il garde de la force pour les prochaines fois. S'il meure..pas de prochaine fois, et ça serait bête, parce qu'avec sa femme, ils sont dans une période où tout va pour le mieux !
Tous les deux, allongés sur ce lit d'hôpital qui avait cessé de grincer depuis qu'ils avaient arrêté, restaient l'un contre l'autre, pour ne pas prendre froid après cette chaleur brulante. Et en même temps, le lit était petit, alors s'ils ne se collaient pas, un des deux tomberait.
Il caressa le visage de sa femme, tout en l'embrassant avec tendresse et délicatesse.*

Rien ne peux nous arrêter nous.

* Elle avait sourit à son mari, lui caressant le visage qui était encore transpirant. Elle était bien, mais assez fatiguée vu qu'elle s'était reveillée de son coma qu'aujourd'hui et que là elle vennait de faire un sport assez intensif mais avouons-le, très amoureux. *

" C'est toi qui m'a sauté dessus le premier "

* Elle s'était mordillée la lévre, avant de l'embrasser doucement. Il avait posé sa tête contre la poitrine de Natalie pour se reposer et reprendre son souffle. Elle avait posé sa main dans les cheveux mi-long d'Orlando, les caressant doucement avant de fermer les yeux pour se reposer elle aussi. *

*Orlando lui avait sourit, il l'avait embrasser avant de la regardait avec un petit air étonné. C'est qu'elle était en tarin de se plaindre qu'il lui ai sauté dessus le premier au moins ?*

Et bah, c'est bien aux hommes de faire le premier pas , non ?

*Il avait perdu son air étonné, et avait légèrement haussé ses épaules.*

De toute façon, tu m'as suivi, donc, c'est que t'y es quand même pour quelque chose.

*Il lui avait sourit une dernière fois, et se serra plus contre elle, vu qu'elle avait ses yeux fermés, comme si elle voulait dormir, il l'avait embrasser avec douceur et délicatesse et avait aussi fermé ses yeux.*

* Elle avait prolongé son dernier baiser, avant qu'ORlando ne repose sa tête contre elle, se serrant encore plus fort. Elle l'enlacait, une main dans le dos d'Orlando, une autre, dans ses cheveux qu'elle caressait du bout des doigts. Ils avaient remient le drap sur eux, et doucement, ils s'étaient endormis tous les deux, l'un contre l'autre. *

------

* Elle n'avait pas dormi plus longtemps qu'une petite heure puisqu'une infirmiere avait toqué à la porte de la chambre, que Natalie avait fermé à clef. *

" Plus tard ! "

* Elle avait soupiré et l'infirmiere était partie. Orlando ne s'était pas reveillé. Natalie le regarder comme si elle regardait son propre enfant dormir, avec un regard heureux, un petit sourire en coin, et un air nostalgique, en lui caressant ses cheveux. *

*Orlando s'était endormi, comme elle, et puis, une heure après, elle était déjà réveillé à cause de l'infirmière. Orlando avait beau encore dormir, ça ne serait plus le cas pour les minutes à venir parce que Natalie lui caressait les cheveux. On pourrait croire que d'habitude ça endort, mais, pour Orli, ce n'était pas vraiment le cas. Ses yeux commençait doucement à s'ouvrir, et la lumière blanche qui perçait dans la pièce le réveillait aussi.
Il ouvrit alors ses yeux au maximum qu'il pouvait, même si ces derniers étaient encore bien peu ouvert, et il regarda Natalie avec un petit sourire qui venait d'apparaître au coin de ses lèvres.*

Salut toi.

*Il avait encore bien évidemment une voix douce d'un homme pas très réveillé.*

* Il avait une petite voix légerement cassée mais douce et faible, ce qui fit sourire Natalie, pas totalement reveillée aussi. Elle s'était legerement redressée pour embrasser Orlando sur le front, avant de se laisser retomber sur le lit, caressant toujours ses doux cheveux mi-long bruns bouclés qu'elle aimait. ,En ce moment, Anaïs regardait le seigneur des anneaux, bavant devant Orlando, tout comme elle bavait devant ce magnifique avatar. Bref, tréve de plaisanterie. *

" T'as vu que je suis en force ... Tu vois, je peux partir d'ici. "

* Après tout, elle avait dormi un bon long mois, elle remangeait comme il faut, et en plus, elle avait vécu un moment fougeux et amoureux avec son mari. *

" On serait mieux tous les deux à la maison, pour parler, et se retrouver comme avant, avant que notre vie soit chambouler, avant cette dispute, avant, quand tout aller si bien ... "

* Elle lui caressait toujours les cheveux, le regardant d'un petit regard sincére. Avant cette grosse dispute, avant qu'Hayden ne chamboule tout, tout aller si merveilleusement bien. Ils s'aimaient tellement et ils ne pouvaient vivre l'un sans l'autre. Elle voulait que ce bonheur se retrouve aujourd'hui enfin. *

*En forme, c'était le cas de le dire, il n'avait pas vu sa femme d'une telle forme et vivacité depuis des siècles. Enfin, la dernière fois, ça remonter à avant son anorexie, parce que depuis ce temps là, elle avait perdu des forces, et forcément, elle voyait aussi tout en noir à cause d'Hayden.
Ce petit séjour à l'hôpital lui avait fait retrouvé tout ce qu'elle avait perdu: sa joie, sa vivacité. Et, fini l'anorexie, même si elle était encore maigre.
Orlando lui, était à moitié réveillé, il aurait bien dormi, dans les deux, pour le moments, c'était Orlando qui était le moins en forme, alors que c'était Natalie qui avait été hospitalisé. Enfin, elle n'avait fait que de dormir, et lui n'avait fait que de veiller.*

Je tuerais celui qui oserait dire que tu n'es pas en forme chérie.

*Il regarda sa femme, et tenta de lui sourire malgré un peu sa fatigue. Il lui caressa sa joue.*

Oh oui, j'ai vraiment envie de rentrer à la maison, mais, tu me laisses prendre le lit juste en arrivant, ok ?

*Bon, il avait encore du mal à se lever, il était resté allongé sur le lit.*

* Au début, Natalie était degoutée. Elle qui voulait rentrer pour parler avec ORlando de tout ça, ce dernier voulait que dormir. Enfin bon, au moins elle serait chez elle, avec ses enfants qu'elle voulait tellement serrer dans ses bras, et ses deux derniers petits, ses bébés, à peine agés de 5 mois. Elle avait sourit à Orlando, avant de se lever du lit, et de laisser Orlando allongé sur ce dernier pour qu'il se repose encore un peu. *

" Si tu veux, du moment que je suis à la maison ... "

* Elle lui avait sourit, avant d'ouvrir le placard et de sortir des sous vetements, un short en jean et un debardeur rouge. Elle s'était donc habillée, avant de retourner voir Orlando. *

" J'peux te laisser dormir encore cinq petites minutes. "

* Elle lui avait deposé un doux baiser sur ses lévres avant de sortir de la chalbre pour aller voir son medecin et negocier sa sortie de l'hopital. Après un bon long quart d'heure, Natalie était rentrée dans sa propre chambre, et Orlando s'était reveillé. *

" J'ai reussi mon amour. Je sors d'ici "

* Elle s'était appuyé contre l'encadrement de la porte, sa t^te contre, et ses bras, croisées, laisant en vue ses petites et fines gambette, et elle avait bien entendu un sourire en coin. *

*Ce n'était pas qu'Orlando n'était pas heureux que sa femme aille bien, mais lui, il était complètement épuisé. peut être eu lui faire l'amour ici n'était pas la meilleure solution vu qu'à présent, il avait un mal fou à sortir du lit tellement la fatigue pesait sur lui.
Il écouté Natalie sans vraiment prêté attention à ce qu'elle disait. Il jeta aussi un vague coup d'œil à ses faits et gestes et puis, il referma ses yeux.
Le quart d'heure qui s'était écoulé avait semblait ne jamais exister. Il s'était à peine endormit, qu'il entendait déjà la voix de sa femme à la porte qui lui disait que le médecin acceptait son départ.
Il se releva un peu sur le lit, et passa sa main sur son visage.*

Ah, tu sors. C'est super chérie.
C'est quand que tu pars ? Tout de suite ?

*Il la regardé avec des yeux mi-clos , plissé par la petite lumière très blanche et lumineuse qui s'infiltrait de par derrière elle.*

On dirait que tu es un ange et que je suis au paradis.

* Elle regardait son mari à croquer. Ses petits yeux qu'il arrivait difficilement à ouvrir, et ses cheveux ebourrifiés en bataille. Il était tellment craquant ... Elle était restée dans la même position, toujours avec son sourire. *

" Oui je peux partir maintenant .. "

* Elle, elle était heureuse de sortir et de rentrer chez elle. Elle avait sourit à son mari après sa jolie phrase, avant de sortir son sac et de mettre ses affaires dedans. Après cinq bonnes minutes, elle était prete. *

" Bien évidement, je vais conduire ... "

* Oui, elle sortait de l'hopital, elle ne voulait pas y retourner après un accident vu qu'ORlando était bien trop crevé pour conduire. *

*Ok, si elle pouvait partir maintenant, et ce qu'elle allait faire vu qu'elle était bien déterminée à quitter cette hôpital, et bien, Orlando n'avait plus qu'à quitter ce lit très peu confortable (mais assez pour dormir), et s'habiller, ainsi que préparer ses affaires afin de partir.
Mais, c'était assez dur dur de quitter le lit.
Après les 5 minutes, Orlando lui n'était pas prêt contrairement à Natalie.*

Faut que je sorte de ce lit alors...

* il attrapa son caleçon qui trainé pas loin, et l'enfila, et puis, il ramassa dans la pièces ses vêtements un peu éparpiller. et s'habilla au fur et a mesure.
Il rassembla alors toutes ses affaires restantes, et alla vers nat qu'il embrassa.*

Oh oui, conduis, je suis trop fatigué.

*Et pas coiffé, mais on s'en fou.*

* Justement, ORlando avait les cheveux ébourrifés et c'était bien comme ça. Ca le rendait encore plus beau et sexy. Elle avait prolongé son baiser, avant de prendre les clefs de la voiture d'Orlando. *

" D'habitude, quand je te demande ta voiture, tu rales et tu dis toujours non parce-que tui as trop peur que ta petite femme chèrie l'abimes ... "

* Elle avait sourit, c'était la remarque qui servait un peu à rien en fait. Elle avait prit son sac, sortant de la chambre avec Orlando, puis de l'hopital. En arrivant devant la voiture, ils avaient rangé les affaires, et Natalie prit le volant. Et Anaïs laisse Isa repondre chez Natalie. *

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