Jardin

*elle avait simplement regarder Alice courire comme examinant ses moindres pas qui ne faisaient que progresser. Elle s'en sortait bien et Keira afficha un sourière presque fière.*

*Lorsqu'elle leva enfin les yeux, ce fut quand cette voix l'interpella.*

Tiens.

*Elle essayait de retenir un sourire pour ne pas montré qu'elle était contente de le voir.*

Manquer? Non deux mois c'est rien.

*Il lui avait tourner le dos pour éteindre la radio et biensure sa voix avait été ironique.*

* Il soupira en entendant le ton ironique de la voix de son ex-femme. Il reposa Alice à terre qui tenait parfaitement debout. Il s'approcha de Keira, prit sa main et la fit se retourner. Il posa une main sur son visage *

Toi aussi tu m'as manqué.

* Sa voix était de velour. Il regardait Keira droit dans les yeux *

* Rentrée tout juste de Los Angles, elle y avait passé plusieurs mois loins de la ville, besoin d'une bouffée d'air neuf peut-être. C'est donc l'esprit vide qu'elle rentrait en fin d'après-midi. Poussant le portaille, elle dû usée de sa "force" légendaire pour lutter contre l'herbe haute qui s'était accumulée dans le jardin. Cependant, une ligne d'herbe écrasée se tracais dans la brousaille jusqu'à la cabane de Julian. Elle ne savait pas vraiment si ces traces avaient été laissées par celui qu'elle pensait ou par un vulgaire paparazzi mais tant pis. Elle sortit son téléphone pour composer le numéro qu'elle avait pensé avoir supprimé de son répertoire depuis bien longtemps. *

* La portable de Julian devait sonner quelque part surement mais personne ne répondait. *

" Vous êtes bien sur le portable du séduisant Julian, n'ésitez pas à laisser un p'tit message. "

* Elle avait lever les yeux au ciel en entendant cette voix toujours aussi prétencieuse qui sous entendait dans une simple phrase: Hey poupée, tu me veux, laisse un message et tu m'aura peut-être. Elle laissa alors, après le bip, la trace d'une voix sur d'elle sur cette boîte vocale. *

C'est Keira. C'est trop demandé au ... séduisant Julian... que d'appeller un jardinier quand monsieur repointe le bout d'son nez?

* Elle avait marqué une pause avant de prendre un air plus "je-m'en-fou-tiste" *

Ou sinon autant pour moi, mais il semble qu'il y ait quelqu'un qui squouate ton "habita" à l'heure actuelle. Rappel moi!

* Il y avait un léger air ironique dans la fin de sa phrase avant qu'elle ne raccroche. Elle fixa un moment la cabane puis elle reprit sa valise pour traverser la jungle. *

*Julian était en train de faire du sport avec son tout nouveau tapis de gym quand son téléphone sonna. Ne voulant point toucher son magnifique Iphone© avec ses mains pleines de sueur, Julian prit le temps de se diriger vers l'évier pour se laver les mains. Malheureusement son portable venait de passer l'appel sur messagerie.*

*Julian, après s'être soigneusement essuyer les mains pendant 5 minutes {Il ne supportait pas les avoir mouillées}, s'empara de son téléphone, et appela sa messagerie. Ce qu'il y entendit faillit lui faire lâcher le téléphone. Keira. SA Keira. Ou son ex-keira, il ne savait pas. Depuis le temps, elle avait peut être annuler leur mariage, puis s'était enfuit avec le premier clochard qui passe. Jude par exemple.*

*Il écouta le message. Il raccrocha. Elle était là. Dans le jardin. En train de se faire attaquer par l'herbe, et les horribles bestioles qui s'y trouvaient. Si elle était en jupe, elle aura une bonne surprise : ses jolies jambes fines, recouvertes de pustules immondes et de tiques.*

*Julian sortit de sa cabane et se dirigea vers le jardin, avec un grand sourire en direction de Keira*

"Tiens une revenante !"

*Oui, c'était un peu culotté de sa part de dire ça, mais il n'avait pas tort non plus. Il prit les valises de Keira. Il soupçonna la demoiselle de les avoir rempli avec du plomb.*

"Sâche que si Joly Jumper aurait été acceptée comme il se devait dans notre famille, il n'y aurait pas plus d'un centimètre d'herbe par ici. Et en parlant de famille, t'as laissé la mioche où ?"

*C'était effrayant. Connaissant le sens pratique de keira, la gamine pouvait encore se trouvait dans l'avion, ou sur le parking ou Keira avait attendu le taxi, ou dans le taxi.*

* Elle avait fixer l’homme qui s’approchait d’elle. Elle ne l’avait pas vu depuis disons… « un certain temps » et le sourire qu’il affichait en avait fait naître un du même genre sur son visage. A sa première remarque, elle aurait pu lui envoyer une phrase menaçante et pleine de rancune mais elle n’en fit rien. *

* Elle se contenta de baisser les yeux, comme pour cacher par fierté un sourire amusé. Okay, il n’avait pas changé. Elle releva alors son regard vers lui. *

Tout de suite les sujets qui fâchent.

* Elle l’avait laissé prendre sa valise, puis, en mère sûr d’elle, comme fière de lui annoncer qu’elle maîtrisait la situation, elle annonça :*

Chez son père, au ski.

* Puis, comme plus pudique, elle leva les sourcils pour lui demander. *

Alors, de retour ... ?

* Elle le fixait intensément, redécouvrant presque son visage. *

*Elle n'avait pas changé. Toujours aussi directe, voir froide. Il avait toujours trouvé cela destabilisant. Il prit une poignée d'herbe et l'emmena vers la bouche de Keira.*

"Joly Jumper avait le mérite de manger une chose aussi immonde, t'as déjà goûter de l'herbe où la moitié des chiens du quartiers viennent faire leur besoin ?"

*Il venait de dire cela au moment ou il posa la valise de Keira dans une crotte de chien. Ce n'était pas grave : Il lui ferait porter le chapeau.*

*Il lui sourit. Ces remarques lui avait manqué. Il avait hâte d'avoir une future dispute. Avec les paquets de chips qui volent, comme les gifles.*

"De retour. Comme toi. Etrange coincidence non ?"

*avec un peu plus de tristesse, il dit :*

"J'aurais aimé voir Alice."

* Elle recracha immédiatement l’herbe qu’il venait de lui fourrer violemment dans la bouche. Elle s’essuya du revers de la main, grimaçant légèrement. *

Ecoute, une jument reste une jument, le traitement n’est pas comparable !

* Les animaux, aussi inutiles qu’un cheval pouvait l’être à ses yeux, pouvaient se réduire à manger de l’herbe. Elle, si jamais elle le faisait, s’était au restaurant, accompagnée d’une sauce vinegrette aux huiles du bout du monde. Qui goûte au luxe ne s’en détache pas. *

* Elle n’avait pas encore remarquer la gaffe de Julian. Et j’aurais envie de dire « heureusement pour lui ». Non, elle s’était arrêtée sur sa phrase tristounette. Alice avait souvent réclamé Julian et Keira l’avait souvent punie pour ça. En effet, Julian était partit et, pour ne pas tomber dans une déprime monumentale, elle avait préféré le détester. Tellement plus simple. Inconsciemment, c’était stupide, certes. Maintenant qu’il était là, de retour en même temps qu’elle, elle laissa un sourire en coin lui échapper nostalgique.*

Etrange coincidence, les grands esprits se rencontrent c’est bien connu.

* Puis, comme gênée, elle passa sa main dans ses cheveux, replaçant doucement une mèche dans ses cheveux. *

Elle devrait bientôt rentrer.

* Elle baissa alors les yeux, remarquant que sa valise touchait une crotte de chien molle. Elle le fixa alors subitement, les sourcils froncés. *

*Suivant le regard de Keira vers la valise et la crotte, Julian répondit presque instinctivement.*

"Pas ma faute. Pas mon chien. Note en passant que ça aurait pu être du crottin. Mais non, par conséquent, ce n'est pas de faute, et jamais, tu entends, jamais je n'aurais eu la bétise de poser une valise, aussi pourrie soit t'elle, dans une crotte de chien."

*Effectivement, tout deux rentraient au même moment. Coincidence ? Il espérait que non. Au fond de lui, il espérait que Keira avait eu vent de son retour. Mais c'était peu probable.*

"Oui, les grands esprits se rencontrent. Toujours aussi modeste à ce que je vois."

*Il ne préféra plus parler d'animaux. Keira les considérer comme une espèce inférieure. Devrait-il lu rappeler que les humains sont des animaux ? La plus cruelle des espèces ? La plus terrible des évolutions ? L'espèce qui à inventé les pokemons, ou la star academy ? D'ailleurs, l'instinct animal ressurgissait en Julian. Il ne voyait que Keira. Une femelle. Avec des hormones qui le titillait. Il tenta une approche, pour savoir ou elle en était.*

"Ah. Alice est chez Jude, au ski. Pourquoi n'êtes vous pas tous les deux ? Cela ne fonctionne pas entre vous ? Comment ça se passe ta vie amoureuse ? Tu veux coucher avec moi ?"

* Elle l’avait écouté déblatérer sur les crottes, crottins, bouses et autres sortes d’excréments possibles. Ca l’avait, quelque part, fait sourire. *

Toujours une bonne excuse de toute façon.

* Elle n’avait pas eut vent de son retour, elle avait simplement décider de revenir, et puis, de toute manière, Jude devait ramener Alice dans la semaine alors… Même si cette coïncidence n’avait pas été volontaire [oh ?] ça lui plaisait bien comme ça. *

Julian, évite de parler de modestie, pas toi, ça sonne mal !

* Elle avait eut un sourire amusé avant d’essayer de comprendre à quoi il voulait en venir avec toute ses questions. Elle laissa un silence durant lequel elle l’avait intensément fixé. *

Ca t’intéresse ?

* Elle se voulait plutôt froide et distance mais ça ne dura pas. Sa voix devint sûrement plus honnête et sincère que tout ce qu’elle n’avait pu l’être jusqu’à présent. Elle baissa les yeux une seconde avant de lui répondre en le regardant. *

Il a sa vie, j’ai la mienne, apparemment comme toi et moi non ?

* Ca répondait en gros à toutes ses questions en une phrase. Sauf à la dernière peut-être, qui l’avait simplement fait sourire. Okay, dernier qualificatif remplit, Julian était resté le même. *

Et toi, tu nous a ramener une minette blonde écervellée d'un quelconque tournage ?

* Elle avait demandé ça comme si ça ne l'interressait pas. Elle avait même câché une certaine inquiètude derrière une pointe d'humour bizarre.

*Elle n'avait pas l'air d'apprécier toutes ces questions sur Jude au départ. Peut être tenait-elle encore à Jude, et le fait de répondre à ses questions lui faisait du mal ? Le timbre de sa voix était glaciale, Julian pensa donc que Keira était tout naturellement encore amoureuse de ce bon vieux {et moche} Jude.*

"Excuse moi, je ne voulais pas réveiller ton vieil amour incomblé que tu avais pour Jude. Mais pour répondre à ta question, oui ça m'intéresse. Ca fait longtemps que je t'ai pas vu, et prendre des nouvelles de toi, et de Alice, et malheureusement de son VRAI père, me tient énormément à coeur."

*Quand Keira venait de prononcer "minette blonde écervellée", Julian sourit aussitôt. Keira venait de décrire l'exact contraire d'elle-même. Elle devrait bien savoir que c'était pas son genre.*

"C'est bizarre ! Minette blonde écervellée, ça me fait tout de suite penser à Hilary. Surtout le écervellée."

*Il soupira. Keira venait de tout mettre au clair : Elle à sa vie, Jude à la sienne, et lui aussi. Avec cette phrase, elle venait d'écarter Julian de sa vie.*

"Personne dans ma vie Keikey. Du moins, personne avec qui j'ai vraiment envie de me poser."

*Il se mit en face de Keira et la fixa droit dans les yeux, et c'est avec une certaine nostalgie qu'il dit :*

"Tu as été la seule avec qui j'ai vraiment eu envie de faire ma vie. Malheureusement, tout c'est passé autrement."

* « Ton vieille amour incombé », elle leva immédiatement les yeux au ciel, n’écoutant plus Julian que d’une oreille après ça, le coupant presque avec de léger murmures :*

N’importe quoi …

* Puis, comme boudeuse et vexée, elle ajouta tout de même à contre cœur ce qu’il attendait de savoir. *

Je ne vois plus Jude alors je ne sais pas comment il va. Tant qu’il s’occupe bien d’Alice, c’est tout s’qui compte. Elle, tu lui as beaucoup manqué. Elle sera sûrement très contente de te revoir!

* Puis, retenant un petit sourire aux coins de ses lèvres, elle continua après avoir légèrement baissé la voix. *

Par contre je doute qu’une blondasse dans ma demeure soit une bonne idée pour l’environnement de la petite, alors tant mieux si tu n’as personne !

* Elle avait donné un air léger à sa phrase. Bonne excuse que de caser Alice dans la situation, ça lui faisait simplement plaisir, il fallait l’avouer. Pour elle même, elle aurait pu rajouter « Surtout pas Hilary ! ». *

* Leur situation entre eux était plutôt ambiguë et elle ne savait pas quoi pensé. Cependant, elle avait sourit à ce qu’elle avait perçu comme un compliment venant de sa part. Alors comme pour lui tendre une perche, elle le fixa intensément pour dire d’un air innocent :*

Personne dans ma vie non plus, pour l’instant.

* Laissant un silence à le fixer, elle avait reprit la poignet de sa valise, faisant un pas en arrière vers la maison avant de chuchotter. *

Ca m’fais plaisir de t’revoir.

*Il était rassuré. Apparemment, Jude et elle, c'était un passé, très lointain. Cela lui laissé le champs libre pour la récupérer. Il essaya de rester neutre, ne voulant pas montrer sa joie. Keira aurait pu mal prendre le fait qu'il se réjouisse qu'il n'y est rien entre elle et Jude.*

"De toute façon, jolie et fine comme tu es, tu n'auras aucun mal à te retrouver un homme."

Puis, dans un soupir, il dit : "Qui sait, il est peut être à quelques mètres de toi."

*Il affichait un sourire hilare, après la remarque de Keira sur la blondasse et Alice, et hocha la tête, comme pour approuver.*

"Plutôt malin. Très belle remarque, bien enveloppée dans une jolie phrase, où n'importe quel idiot n'y aurait vu que du feu."

*Il la regarda, avec un sourire en coin qui creusait légèrement ses faussettes vers ses joues.*

"Mêler Alice à tout ça pour pas que je me ramène avec un clone de Hilary. Quelle mère diabolique ! Diaboliquement intelligente."

*Il la prit par la taille, pour l'accompagner jusqu'a la maison. Il espérait que Keira prendrait ce geste pour quelque chose d'amical, même si pour lui, cela signifiait plus. Il baissa les yeux, puis avoua, dans un murmure : Tu m'as beaucoup manqué. A moi aussi, ça me fait plaisir de te revoir.*

*Il regrettait tout ce qui s'était passé entre eux. Si il pouvait repartir de zéro, il le ferait, si il pouvait tout effacer, il le ferait. Mais c'était trop tard.*

* Elle avait laissé un très faible sourire apparaître au coin de ses lèvres après ses brefs compliments. Elle n’était pas vraiment surprise, Julian avait toujours trouvé les bons mots et s’était mainte fois entraîné sur de nombreuse minette, mettant alors en place toute ses stratégies de dragouille. Cependant, ses sous entendus demandaient encore un peu d’entraînement, mais elle avait tout de même sourit à l’idée que finalement, les choses semblaient encore être possible entre eux. *

Qui sait.

* Son regard était devenu presque tendre durant une poignet de seconde avant qu’elle ne se mette a rire après sa pseudo analyse qui, au fond, s’avérait tout à fait juste. Mais chut. *

Je n’vois pas du tout de quoi tu parles !

*Elle avait prit un air tout à fait sérieux avant de le regarder avec un air menaçant. *

Tu peux toujours ramené une Hilary, c’est toi qui voit…

* Le « c’est toi qui voit » sonnait plus comme un « à tes risques et périls. ». Puis elle s’était mise à marché avec lui vers la maison, laissant le bras de Julian entourer ses hanches. Arrivé devant la porte d’entrée, elle avait plongé sa main dans son sac pour y chercher les clefs… qu’elle n’avait pas. Elle regarda alors Julian comme si tout était parfaitement normal alors que ses mains cherchaient discrètement dans les poches de sa veste. L’air de rien, elle demanda quand même. *

Et est-ce que je pourrais savoir ce que tu as fait pendant les 5 ou 6 derniers mois ?

* Jetant un œil discret vers sa valise puis de nouveau sur son sac, elle s’inquiétait un peu de devoir dormir à l’hôtel. Elle reposa finalement son regard interrogatif sur Julian. *

*Keira venait de lui donner une réponse fuyante. "Qui sait". C'était un oui, c'était un non. C'était un peut être. Julian ferait tout pour que cela soit un oui. Il la voulait, il la désirait, et il l'aurait. C'était un défi pour lui : reconquérir Keira, reformer une famille à nouveau. Il commença son plan drague de gros macho, en regardant la poitrine de Keira*

"Bin dis donc, t'as pris un bonnet de plus non ?"

*Il n'avait jamais vraiment eu de bon résultat avec cette méthode, mais il pensait que Keira le comprendrait. Elle le connaissait mieux que personne, et il espérait qu'elle saurait traduire sa phrase par : "Tu es très belle, je crois que je suis amoureux de toi, j'ai bien envie de t'embrasser".*

*Il la fixa, analysant ses moindres gestes. il fit un sourire en coin, un sourire malicieux.*

"Oh, mais si tu vois de quoi je parle, canaille. Et pour ce qui est de ramener une Hilary, tu rêves chérie, je te ferais pas ce plaisir là. Mon style, c'est plutôt les cheveux foncés, à petite poitrine, et au visage fin tu vois."

*Julian jetta un coup d'oeil par terre. les clefs que Keira cherchait s'y trouvée. C'set vrai qu'avec toute cette herbe, il était difficile de les voir, encore moins de les entendre tomber. Il ne les ramassa pas, fesant comme si de rien n'était, pour continuer leur petite conversation.*

"Pendant ces 5 derniers mois ? J'ai tourné la nouvelle saison de Nip/Tuck. J'ai papillonée auprès des filles, allant voir à droite, à gauche, mais sans jamais comblé cet énorme vide que j'avais en moi. Parce que la seule fille pour laquelle j'ai eu des sentiments, des vrais sentiments, c'était toi."

* Elle n’avait pas eut à traduire sa phrase puisque, lorsqu’il posa son regard sur sa poitrine et qu’il commença sa phrase, elle reconnaissait ses techniques ancestrales qui ne lui faisaient pas de grands effets. Elle avait donc lever les yeux au ciel, ne retenant pas pour autant un bref sourire amusé avant de le fixer. *

Te fatigues pas Julian !

* Elle sentait tout de même son regard sur elle, l’observant, alors elle détourna ses yeux un instant, l’écoutant la contredire puisque son « je ne vois pas de quoi tu parles » n’avait pas du être très convainquant. Puis, révoltée qu’il ait trouvé les bons mots, elle le fixa intensément, les yeux plissés, pour riposter. *

Si tu crois que ça m’importe qui tu peux fréquenter, tu t’trompes. Fait bien s’que tu veux après tout.

* Elle avait eut un léger haussement d’épaules peu convainquant avant d’ajouter, d’un regard presque provocant. *

En tout cas, désolée mais… tu risques d’avoir du mal à trouver « ton style ». Ce genre de femmes ne s’attrape pas comme des Hilary.

* Elle avait dit ça d’un ton presque hautain, voir prétentieux puis elle avait sourit. *

J’en conclu donc que ton tournage c’est bien passé, tu as sûrement eu de quoi te distraire à volonté.

* Elle soupira, pensant au 10ènes de filles qu’il avait du entraîner dans son lit et qui, en bonne nouilasses s’étaient laissées faire. Son « énervement » ne s’était qu’amplifié alors qu’elle ne trouvait toujours pas ses clefs. *

*Ses petites révélations avaient l'air d'énerver légèrement Keira. Cela fit sourire Julian. Si elle s'énervait, c'était très bon signe. C'était, d'après lui, une marque de jalousie. Il leva les yeux au ciel, pour exprimer sa fausse incompréhension.*

"Dis donc Keikey, tu vas pas m'dire que toi t'as eu aucunes relations depuis 4-5 mois ? Et dis moi pas que si, je te croirais pas. Pas toi. Impossible."

*Sûr de lui, en fesant gonfler ces muscles, et en ressortant un sourire digne du professeur Lockhart dans Harry Potter, Julian dit à Keira : " Si t'avais pas eu de relations sexuelles depuis tous ce temps, tu aurais déjà fait qu'une seule bouchée de ce corps là." Il s'auto-montra.*

"Peut pas y avoir d'abstinence quand je suis dans les parages."

*Julian soupira. Keira essayait de rester calme vis à vis des filles qu'il avait pu fréquenter. Mais il avait perçu en elle une légère provocation. Elle essayait de faire comme si tout ça lui passer au dessus de la tête, mais il sentait que c'était tout le contraire. Il avait l'impression qu'elle se sentait vraiment concernée par sa vie à lui. Ils avaient encore une chance tous les deux.*

"Keikey, tu connais les besoins masculins. C'était ça ou mes mains douces, et à trop les user, elles en deviendraient rugueuses. Tu pourrais être reconnaissante que je te dise la vérité. Puis il y en a pas eu tant que ça. Puis..."

*Il ne continua pas sa phrase. Elle cherchait ses clefs, elle l'écoutait à moitié. Ne disant pas qu'il savait où elles étaient, il proposa à Keira si elle voulait venir dormir dans la cabane, en attendant. Elle auarit le lit, lui le canapé.*

* Alors monsieur croyait tout savoir de sa vie sans lui. « Aucune relation, gna gna gna. » Elle le fixait avec arrogance. *

Et bien figure toi que si ! Rien du tout !

* Il ne la croyait pas et ça se voyait. Elle leva alors les yeux au ciel avant d’admettre. *

Bon très bien, une petite aventure, mais rien d’important de toute façon alors… ça n’compte pas.

* Son argument était a 100% stupide. Elle avait fait une geste de la main légèrement pimbêche si on l’observait hors contexte. Puis elle reposa ses yeux dans ceux de Julian, en silence. Au fonds, ils étaient en train de se justifier l’un l’autre de leur petites vies ? Du genre « tu vois, moi je t’ai été fidèle » ? Elle trouvait sa ridicule mais inconsciemment c’était plus fort qu’elle.*

Besoins masculins, besoins masculins…

* Elle soupira. *

Contrairement à vous, nous les femmes, savons nous retenir.

* Elle avait dis ca comme la parole du saint esprit et ça l’avait fait elle-même sourire. Elle aurait pu ajouter pour elle-même : « Et c’est pour ça que je n’ai pas encore sauter sur ce corps là. » *

* Elle accepta sa proposition pour la cabane, exaspéré d'avoir perdue ses clefs. *

J'te préviens, je prends le grands lit, tu prends le canapé.

*En effet, Julian ne croyait pas Keira. Ce qu'elle disait n'avait aucun sens, aucunes personnes humaines pouvaient se passer de relations autant de temps. Elle avait finit par craquer, et par avouer la vérité, sans doute car il la fixait avec un air révélant qu'il en avait marre de ces mensonges stupides.*

"Alors, tu vois, que encore une fois, j'avais raison. Tu as eu une aventure."

*il le va les yeux au ciel, pour montrer son agacement.*

"Et elle n'avait rien d'important ? Et mes aventures tu crois qu'elles avaient quelques choses d'importantes ? Arrête de penser que tu as sans arrêt raison Keira. Tu passes ton temps à justifier chacun de tes actes, n'importe quel psychologue te dirait que c'est parce que, au fond, tu te sens coupable d'avoir apprécier la chose."

*Il la regarda, d'un air amusé.*

"Merci pour la remarque 100% sexiste. Nous les femmes savons se retenir. Tu parles pour des petites femmes prudes là. La plupart ne sont pas coincé. Tu parles pour une minorité."

*il commença à se diriger vers la cabane. Il se souvint avoir laisser Hilary dedans. Il pensa aussitôt à faire demi-tour, pour ramasser les clefs, mais, d'un autre côté, il pensa que ça serait amusement de voir un petit affrontement entre les deux femmes.*

*De plus, Keira voulait le lit, et lui aussi. Elle lui disait qu'il avait coucher avec tout le monde. Très bien, il allait entrer dans son jeu.*

"Oh, tu es sur de vouloir prendre le lit ? Avec toutes les choses cochonnes que j'ai pu faire avec la première fille qui passait dans la rue ?."

* Elle croisa les bras, le fixant sans rien dire, écoutant. Puis après avoir écouter ses théories sur sa psychologie et son avis sur les femmes, elle avait finit par le couper. *

Oui, oui, j’ai eu une aventure, tu as eu des aventures…

* Bien qu’elle dise ça sur un air je-m’en-foutiste, elle avait légèrement appuyé la différence entre lui et elle. Le pluriel caractérisant ses conquêtes. Mais elle continua.*

… très bien c’est fait, c’est comme ça. Mais avoue que, même sans généralisé la chose, tu restes quand même un assoiffé de sexe ! Ne renie pas ta nature chéri.

* Elle lui avait discrètement adressé un sourire malicieux avant de chuchoter, affichant un petit air boudeur :*

J’aime avoir raison, c’est tout.

* Elle l’avait suivit vers la cabane, ne se doutant absolument pas qu’Hilary pouvait s’y trouver (si elle y était encore [?]). Regardant Julian, elle l’avait fixé intensément après sa petite phrase provoc’. *

Oui je prendrais le lit. Tu changeras les draps, c’est tout.

* Elle lui adressa un faible sourire en coin, amusé, avant de s’arrêter devant la porte de la cabane, attendant qu’il l’ouvre. *

*Il lui tira la langue. C'était une réaction gamine, mais il s'en fichait, il n'avait jamais vraiment quitté son âme d'enfant.*

"Oui, j'ai eu DES aventures, et... ?"

*il prit un air supérieur, presque arrogant*

"En quoi cela te concerne t'il d'abord maintenant ?"

*Il lui sourit, gardant toujours son arrogance sur son visage.*

"A moins... que tu ne sois jalouse ?"

*il prenait ces rêves pour des réalités. Ou peut être était-ce bien réel ? Keira l'avait tout de même appelé "chéri" et avait dit qu'il "était assoifée de sexe", tout ça dans une unique phrase. mais c'était peut être dans le but de se moquer de lui. Il ne savait pas trop comment prendre la chose*

"Euh... Bin... Merci. Effectivement, le sexe est moi, on peut pas nous séparer, mais il est mieux avec une seule et unique personne, celle dont on est amoureux."

*Il regarda Keira, la fixant intensemment pour lui faire passer le message.*

"Au faite, tu vas avoir une petite surprise dans la cabane. C'est pire qu'une troupeau de Joly Jumper. Plus dévasteur qu'un ouragan, c'est..."

*Il ouvrit la porte de la cabane, espérant que Hilary se soit rhabillé.*

"...Hilary Duff en personne."

[on se retrouve a la cabane ?]

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