Petite Cabane dans les arbres

* Elle avait entendu un craquement proche, et elle avait eu peur. Elle s'était vite approchée de la petite " fenetre " de la cabane, et en voyant que c'était Hayden, et qu'au même moment, ce dernier leva la tête et qu'il l'a regardé, elle s'était vit enfoui au fond de la cabane, assise en boule. Elle avait dit il y a trois semaines passées que c'était la derniere fois qu'ils se voyaient et voila pas qu'ils se croisaient là ? Trois semaines sans l'avoir vu, et en ayant un peu souffert en se disant que c'était Avril qui en profité de tout son amour ... *

* Elle était restée dans son coin, ses jambes repliées et ses bras qui les entouraient. Elle ne pouvait pas lui dire de revenir pour pas qu'il pense qu'il était pardonné, parce-que loin de là une telle pensée. Elle n'avait donc rien dit et il était à nouveau redescendu. C'était mieux ainsi même si ça faisait horriblememt mal. Elle voyait sa vie defilée dans sa tête. Là elle s'appercu tout le malheur qu'elle avait causé aux gens, et surtout Orlando. Non elle ne pleurait pas, mais elle n'était pas heureuse.

* Elle l'avait vu remonté, et elle avait profondement soupiré interieurement. Cette cabane representée beaucoup de chose, comme leur amour secret, et aujourd'hui, elle disait que c'était leur derniere rencontre. Elle n'en pouvait plus d'être qu'un jouet, qu'on prend et qu'on jette parce-qu'une pimbéche volait l'amour d'un homme qu'elle avait aimé. *

Je n'ai plus rien à te dire Hayden, je t'ai deja tout dit.

* Son infidélité, Avril, ses tortures, sa promesse ... Non, ça devait se terminer. Elle releva la tête vers lui, un regard perdu et nostalgique.*

C'est terminé ... S'il te plait, vas t'en.

* Elle en avait marre. Entre Orlando et Hayden elle allait réelement peté son cable. Elle ne voulait pas craquer, elle se sentait deja rtop faible face à son extreme maigreur, et elle en avait marre de toujours se montrer faible.
Alors elle se leva. De là, Hayden pouvait voir que Natalie avait encore trop maigri. *

Dans ce cas là, c'est moi qui part.

* Elle vennait de passer ses mains sur son visage, avanr de reprendre son petit sac et de s'avancer vers " l'entrée " où l'echelle en bois était presente pour descendre. *

* Elle n'avait pas fait que maigrir. La pauvre petite était, ces derniers temps, partie en live. En plus de sa maigreure extreme, elle était obligée de porter des longs pull malgrè la chaleur. Elle était devenue comme folle, elle avait tenté à plusieurs reprise de se fouttre en l'air. Elle ne dormait presqie plus, elle ne mangeait casiment plus. Aujourd'hui, elle s'était calmée, même si la situation était devenue pire.
Elle était arrivée pres de la " sortie " evitant de s'empierger avec les jambes d'Hayden. Non elle n'avait pas répondu.
Elle était maintenant debout à coter de lui, et lui assis. Comme il l'a gené un peu et qu'elle ne voulait pas " l'écraser " ell s'était penchée pour tenter d'atteindre la poignet. *

* Elle tendait sa main, mais par manque d'équilibre, elle était tombée sur son ancien fiancé. Même s'il n'avait rien du sentir, elle s'était brusquement relevée avant qu'il ne la touche. *

J'men fou des gens. Je les connais pas, ils ne me connaissent pas, j'en ai rien à carrer !

* Elle ne le regardait plus. Elle ne supportait pas d'être observée. Elle refusait toute nourriture, et le peu qu'elle mangeait, la pauvre petit courrait se faire vomir. Elle avait fait de nombreuses crises d'hypo, mais elle en était habituée. En tout cas, elle ne le regardait plus, et elle ne parlait plus, sans avoir répondu à sa question. *

* Anaïs ne relira même pas parce-qu'elle à fait une nuit blanche xD.
Enfin, enfin un premier regard lancer sur Hayden. Mais ce n'était pas un regard comme avant, doux, attentif et amoureux. Non c'était un regard banal, voir même indifférent. *

Parce-que TOI tu veux m'aider ?

* un rire irronique s'échappa de sa bouche. C'était la meilleure celle là. Hayden qui l'avait tant détruite dans le passé voulait l'aider? Juste pour se racheter certainement, mais elle refusait catégoriquement son aide. *

J'ai pas besoin qu'on m'aide. De toute façon, personne peut m'aider. Maintenant si tu pouvais te bouger un peu pour me laisser sortir, cela m'arrangerait.

* Même si elle savait qu'Hayden ne se poussera pas. Qui tente à rien n'a rien. *

* Les enfants d'Afrique, elle connaissait, elle les aidait aussi. Mais elle, elle n'était pas une africaine. Elle ne supportait pas les gens qui rentraient dans ses histoires, elle preferait regler ses problème seule. *

Il y a une grande différence entre eux et moi ... Ce que je vis, à coter d'eux, c'est rien du tout. Eux ils doivent être aidés, et soutenu. Pas moi. Parce-que même si je t'en parlerai, tu ne pourras rien y faire.

* Elle avait s'était à nouveau relevée pour retenter d'ouvrir la porte, en étant en equilibre par dessus Hayden. *

Pousses toi s'il te plait !

JE ne veux PAS en PARLER !

* Son regard était devenu plus noir, net et presque meurtrier. Elle n'aimait pas parler de sa vie, surtout que le problème était son couple pour l'instant. Et parler de ça avec Hayden, non hors de question. Orlando était son rival, et si Natalie disait à Hayden qu'Orlando allait surement quitté Natalie, Hayden allait en profité. *

Alors pour la derniere fois, laisse moi sortir putin !

* Elle avait frappé contre la porte, assez violament. Depuis sa derniere dispute avec Orlando, Natalie, malgrè son manque de force, de sommeil, de nourriture, d'Orlando, elle était devenue assez violente. Mais trop, puisque la porte s'était cassée, et Natalie avait perdu l'équilibre, tombant alors hors de la cabane. Si Hayden ne lui aurait pas tenu le poignet, la pauvre petite serait toute ecraboullée en bas, sur le sol qui était sous ses pieds. *

* Très vite, par la force d'Hayden, quoi qu'il en avait pas eu grand besoin, elle s'était retrouvée à nouveau dans la cabane, allongée sur le ventre, la respiration accelerée, et le coeur battant assez fort. Quelque part, elle aurait voulu être seule dans ce moment là, trop faible pour supporter tout ce qu'il lui arrivait. Elle avait mal à la main, mais ce n'était vraiment pas la douleur qui lui faisait le plus mal. Non, la douleur la plus grande était Orlando.
Elle se redressa, pour s'assoir contre l'un des mur en bois de la cabane, face à Hayden, la tête basse, ses bras entourant ses jambes qui étaient repliées vers ses épaules. Toute colére et toute haine n'étaient plus, mais la peur et la crainte de perdre Orlando revennaient. Elle esseyait de paraitre forte, alors qu'en réalité, elle était faible et sans courage. *