Entrée

* Elle le fixait, à voir la tête d'Orlando, elle n'aimait pas sa du tout. *

C'est sur, te voir m'faire la gueule m'aidera sans doute beaucoup plus que d'être près de moi.

* Elle s'était retournée sur le lit pour être dos à lui *

* Il soupira. Il s'approcha finalement d'elle, passant une main dans les cheveux de sa femme *

J'm'inquiete pour toi, c'est tout.

* Il l'embrassa au coin des lèvres *

* Elle s'était retournée, le regardant *

J'vais bien. Tu es là, j'vais bien.

* C'était sincere *

* Il avait legerement sourit, l'embrassant cette fois ci *

Tu veux sortir ce soir ?

* Au parc, au restaurant, n'importe. Mais pas ici *

* Enfin! enfin ! Depuis qu'il était rentré, elle n'avaut pas posé ses levres sur les siennes. C'est pour cela qu'elle ne s'était pas privée de le prolonger *

* Elle avait posé une main sur sa joue, lui souriant *

Okay.

* Il lui avait sourit. Il prit alors sa main, la forçant à se lever *

Met quelques choses sur le dos, il fait froid.

* Il avait lacher sa main, descendant alors les escaliers. Ils iraient se promener, à deux, au parc *

* Efectivement, Orlando avait la main assez froide. Elle s'était levée, allant vers l'armoire. Elle avait deja son jean, et un haut violet et noir, a rauyres. Magnifique. *

* Elle avait prit son manteau, le mettant sur elle, avant de descendre dans le salon, où Orlando y était. Elle s'était dirigée vers lui, heureuse de le voir enfin ici. Elle l'avait enlacé, l'embrassant alors, en étant sur la pointe des pieds *

* Il avait posé ses mains sur ses hanches, l'embrassant langoureusement. Il recula ensuite ses lèvres, reprenant sa main, de l'autre, ouvrant la porte *

* Le vent soufflait dehors. Elle serait vite decoiffé *

* Il faisait froid, et heureusement que son blouson tenait chaud. Elle avait sa main dans celle d'Orlando, l'autre dans sa poche. Elle le regardait, souriant legerement. Elle avait fermé la porte à clef derriere elle *

* j'poste au parc *

* Il s'était encore absenter, il le savait. Et peut être que de revenir ici pour lui "je suis desolé Natalie je ne le referais plus" pour ensuite repartir une journée plus tard, c'était du foutage de gueule. Orlando était un con *

Nat ?

* Elle avait bien sur reconnu la voix de son cher et tendre mari, si fidel et si genial *

J'suis pas là.

* Elle était sur le canapé, jettant des photos dans la cheminée *

* Il avait alors posé le regard sur Natalie. Il était toujours dans l'entrée, la main sur la poignée qu'il serrait fermement. On aurait pu croire qu'il était pret a repartir *

Un probleme ?

Un probleme ...

* Elle avait laissé echaper un petit rire nerveux, sans se retourner *

C'est p'tetre toi l'probleme, pas moi.

* Il avait plissé les yeux, fermant finalement la porte. Sa prendrait un moment *

Soyons clair Natalie. Je deteste rester constament present ici, tu m'entends ? Je deteste ça. C'est trop quotidien, toujours la même chose. Et puis, tu sais très bien que si je reviens, je repartie, alors qu'attends tu de moi ?

Quoi ?

* Elle s'était levée, le regardant avec un air ... *

On est marrié, t'es mon mari, t'es le père de mes enfants, je t'aime et tu oses me demander ce que j'attends de toi ?

* Là c'était l'avant derniere goutte en trop *

* Il avait eu un leger rire moqueur *

Crois tu que je ne saches pas ce que tu peux penser de moi ? Ce que tu peux dire sur moi, les menaces que tu fais vis à vis de notre mariage lorsque je suis absent ? Si tu crois que je ne le sais pas Natalie, c'est que tu me prends pour le dernier des abrutis.

* Il avait plissé les yeux. Le ton de sa voix était assez dur *

On fait la paire tous les deux, toi tu m'prends pour la derniere des connes.

* S'il disait ce genre de chose, c'est qu'il attendait qu'un divorce. Il devait certainement rejoindre une nenette à l'autre bout du monde. Il rendait folle sa femme pour qu'elle se suicide *

Arrete de jouer. Maintenant decide toi Natalie. Soit tu m'oublies, et on oublie même notre mariage, soit on continue cette connerie, et je disparais, je reviens et ainsi de suite. A toi de decider.

* Il était très serieux *

*

Orlando Bloom a écrit:

Soit tu m'oublies, et on oublie même notre mariage, soit on continue cette

Maintenant elle en était persuadée, il y en avait une autre. *

* Tout l'monde savait qu'elle ne pourrait pas divorcer de son mari, parce-qu'elle l'aimait tellement qu'elle s'en detruisait par la même occasion. Elle en tremblait. Elle se serait bien vu de lui demander comment elle s'appellait. *

T'es cruel.

* Toutes ses forces, enfin du peu qu'il en restait, étaient retombées *

Il y a d'autres hommes, des qui serrait pret a tout pour toi, des mecs qui soit disant te 'viole' d'autre qui couche toujours avec toi bien qu'il en aime une autre.

* Là il parlait de Jake. Avant, d'Hayden evidement *

Comme tu ne sembles pas te decider, je vais le faire pour toi.

* Il enleva alors son alliance *

Jake et moi sa fait une eternité que c'est fi...

* Elle n'avait pas eu le temps de finir sa phrase, qu'Orlando avait enlevé son alliance. C'était la que la vague de peur, de stress, de malheur de tout ces thermes pejoratifs qui qualifient une futur depression *

Non ..

* Elle s'était reculée, tremblante, le regard flou à cause des larmes qui montaient. *

* Il avait posé la bague sur un meuble, relevant ensuite les yeux vers son ex femme *

Adieu Natalie.

* Il la regarda une derniere fois avant d'ouvrir la porte et de sortir. Il monta alors dans sa voiture, il avait laissé le monteur tourné. Il s'en alla donc immediatement, sans lui laisser le moindre temps pour s'exprimer *

* Elle n'avait vraiment pas comprit entre le temps qu'il était entré, et ce qu'il venait de se produire. En realité, elle ne voulit pas se dire que c'était la verité, que c'était bien la vie reelle. *

* Elle allait pour ouvrir la porte, le retenir, faire quoi que se soit, mais elle avait vu par la fenetre que c'était deja trop tard. Elle s'était dirigée vers le meuble, prendre l'alliance de son mari. Là, elle s'était prit un bon coup violent dans la gueule. Elle s'était laissée tomber à genoux, l'alliance dans sa main serrée. *

* A genoux, elle se disait dans sa tête que, son mari, était la seule chose qui pouvait encore la retenir ici, dans se monde. Elle l'aimait tellement qu'elle s'en était sacrifée, elle n'avait besoin que de lui, que de son amour. Cet amour était partie avec la voiture. Elle esperait tellement qu'il revienne disant : " Meuh cherie pleure pas c'était qu'une blague " mais Orlando n'était pas comme ca.Elle avait esseyé de l'appeller mais il ne decrochait pas. Elle ne voulait pas d'sa. Quitte à l'attendre, elle avait besoin de lui *

* A present elle était assise, les jambes contre ses épaules, à terre contre un meuble. Elle n'y bougerait plus. *

*Quelques temps plus tard Orlando était revenu chez Natalie. Il avait garré sa voiture devant sa maison,k à la même place que d'habitude. En réalité, ça lui faisait bizar de revenir ici, se dire qu'il allait retourner chez Nat. Peut être pour la dernière fois, peut être pas. Il soufla, et sortit de la voiture, se dirigeant alors vers la porte d'entrée, qui d'ailleurs, était ouverte. Il franchit d'un pas déterminé la porte, et claqua un dossier de papiers sur le meuble où il avait posé la bague la dernière fois qu'il avait eut une discussion sérieuse avec elle. Elle n'était pas dans le couloir, alors, il haussa la voix, un peu énervé, il voulait que ça se fase au plus vite.*

J'ai amené les papiers du divorce.

* Elle était assise par terre, dans la chambre, un cadre avec une photo d'eux dans la main, contre son coeur. Elle n'avait pas dormi depuis ces deux jours qui s'étaient ecoulés depuis leur discution, pas dormi, ni bu, ni manger. Elle n'avait fait que pleuré. Et avec tout ca, elle était plus qu'épuisée. Enfin, entendre la phrase d'Orlando l'avait achevé. *

* Elle avait posé sa tête contre le mur, pleurant de plus belle, silencieusement *