terasse et piscine

*Orlando lui adressa un grand sourire.*

Tu prends le petit déjeuner avec moi la future maman ?

*Il lui prit la main, même si elle ne veux pas manger, Orlando aller la faire manger.*

Il va falloir en nourrir quatre à l'intérieur.

Non ...

* Elle avait ralé, elle n'avait pas envi de manger, même si dans pas longtemps elle allait crevé la dalle. Avec quattres enfznts dans le ventre c'était vraiment pas top. *

Regarde j'rentre même plus dans mes jean 32. Le 34 me sert deja !

Je te rachèterai du 36, c'est pas un drame !
Mais mange un peu, sinon, les petits ils vont pas être très heureux à l'intérieur, et ils seront moches !

*Il lui tandis un croissant juste devant sa bouche, il ne l'enlèvera pas tant qu'elle n'aura au moins pas croqué dedans.*

Ouais genial.

* Elle se voyait deja avec le ventre enorme et marcher comme un smo. Genial d'être une femme *

* Elle avait donc reculé la main d'Orlando qui tenait le croissant *

Non non, un tout petit bout ...

*Il prit un regard d'enfant déçu.*

Pour moi !

*Chantage: *

Sinon, ça veut dire que tu m'aimes pas.

* Elle avait rigolé, machinalement *

Et tu crois que si ta femme pesera 100 kilo avec de la graisse qui pendouille de partout tu l'aimeras ?

* ... *

Non non, ton truc est trop gras, deja que j'dois mettre au monde 4 goss d'un coup, j'ai pas non plus envi qu'ils pesent 5 kilos

Rooo, arrête de raconter des sornettes !
Ils ne pèseront pas 5 kilos avec un petit croissant de 500 grammes !
et toi tu ne feras pas 100 kilos non plus.
Sinon, c'est pas du 36 que tu aurais mais du 56 !

*Il lui découpa un petit bout du croissant et lui tendit.*

Même pas 30 grammes, alors tu manges.

* Il allait la faire chier comme ca pendant toute la grossesse ? xD *

C'est aujourd'hui que t'accompagnes Yohan à une reunion avec l'école ?

* Oui et oui xD. Elle avait prit le bout, sans le manger *

Bonneuh question...
On est quel jour ?

*il alla voir le calendrier, et effectivement, il y avait un post-it marqué: réunion de Yohan.*

Je vais y aller seul ?

Euh ... J'suis pas en forme moi.
De toute façon, ca va durer un quart d'heure. Et puis tu rentreras seul, parce-que Yohan ira en cour après.

* Elle haussa les épaules *

Oui.

*Il lui sourit, et lui caressa la joue en se levant, il était l'heure déjà.*

Repose toi bien pendant ce temps.

*Il appela Yohan pour qu'il vienne, et prit son petit cartable avec lui. il embrassa Natalie tendrement pendant qu'il arrive, et ils partirent, juste après qu'Orlando ait dit :.*

A tout à l'heure chérie. Je t'aime.

* Elle lui avait sourit, lui rendant son je t'aime. Elle avait embrassé son fils sur le front, les laissant partir *

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* Cela faisait qu'une heure qu'Orlando était parti, et plus d'une demie heure que Nat était tordue en deux. Le medecin avait bien dirt qu'après sa tentative de suicide, elle aurait pu perdre les enfants. Et que si c'était le cas, il fallait l'appeller et ne pas bouger Nat. *

* Elle était allongée au sol, inconsciente, dans une marre de sang*

*Orlando rentra, il était content, la maitresse de Yohan avait dit que des choses positives sur leur enfant. Bon élève, attentif, mais attention, parfois il s'agite un peu.mais bon, il travaillait bien , c'était le plus important.*

Me revoilà !

*Il posa sa veste à l'entrée, et alla dans la cuisine, Nat allongée sur le sol dans une marre de sang. Il s'accroupit près d'elle.*

Ça va aller chérie, je vais appeler le médecin tout de suite.

*Il tremblait, et il avait par conséquent du mal à sortir son portable de sa poche. Il appela le médecin, qui lui dit qu'il arrivait de suite.*

Ma chérie, je suis là hein !

* Le medecin était là. Vu le sang qu'il y avait, elle les avait tous perdu. Il avait fait les soins necessaires, avant de porter Natalie jusqu'à la chambre. Il avait prescrit des medicaments avant de souhaiter bonne chance à Orlando. *

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* elle avait passé la journée et la nuit à dormir. Quand elle c'était reveillée, elle avait mal au ventre. Elle s'était levée, se dirigeant vers la fenetre. Le soleil se levait au dessus de la mer, et Natalie n'était pas vraiment d'humeur joyeuse *

*Orlando entra dans la chambre, il alla à la fenêtre et posa ses mains sur ses hanches.*

Ca va mon amour ?

*Il savait que ça n'allait pas, vu qu'elle les avait perdu, lui aussi était triste d'ailleurs.*

* Elle fixait l'horizon d'un air absent, d'un regard triste et melancolique. Le soleil commencait à peine à se lever, et il laissait paercevoir un ciel rouge-oranger dont les couleurs se reflettaient sur l'eau calme. *

* Elle se sentait vide *

Tout est de ma faute.

* Elle avait la voix qui tremblé, un peu cassé, n'arrivant pas à parler fort. Oui c'était à cause d'elle que quattre pauvres innocents étaient morts. Par un geste lache qu'elle avait comit. *

Je ne suis même pas capable de te donner un bout de bonheur avec de nouveaux sourires.

* Elle était toujours dos à lui, et elle ne comptait pas subir son regard. Qu'il soit doux ou violent *

*Orlando lui caressait ses bras, il regardait lui aussi l'horizon, ce ciel qui se levait peu à peu.*

Non, c'était un moment de détresse, et moi je ne m'en suis pas aperçu.
Je n'aurai pas du crier ce jour là.

*Il laissa un petit moment de silence.*

Chaque jour je suis heureux avec toi, tu es mon soleil, la seule qui me fasse vivre.
C'est sur que je commençais à m'attacher aux futurs enfants, mais ce n'est rien par rapport à toi.
Voyons ça pour un accident.

*Un accident, qui en fin de compte était à cause d'Hayden , encore lui décidemment ! Il n'en voulait pas à sa femme, mais à lui, c'est lui qui faisait tout pour la rendre malheureuse au fond, vu que s'il n'aurait pas existait, ils auraient vécu heureux.*

Tu n'es pas coupable chérie.

* Elle avait fermé les yeux, esseyant de retenir ses larmes qui ne demandaient qu'à perler sur les joues de Nat. Elle avait relevé la tête, ouvrant les yeux. Elle ne s'était jamais sentie aussi mal qu'aujourd'hui. Elle venait de perdre 4 enfants, et son amour pour Hayden l'a hanté toujours, malgres le fait qu'elle voulait vivre qu'avec Orlando. Elle allait surement envisagé un petit depart afin de reflechir, et de prendre un air nouvau *

Bien sur que si c'est de ma faute.

* Elle était lache et ne pensait mourrir à chaque peine et douleurs. Elle avait donc fait demi tour, passant à coter de son mari sans le regarder. *

*Orlando se retourna et la regarda s'éloigner vers la porte.*

Natalie tu ne peux pas dire ça !

*Il la rattrapa et l'immobilisa , la tenant par ses deux bras.*

C'est nullement de ta faute, c'est seulement celle d'Hayden.
Ce salaud...

*Il prit Natalie dans ses bras .*

Hayden n'y est pour rien.

* Elle ne bougeait plus, elle n'avait même pas la force de se debattre *

C'est de ma faute. J'ai jamais su rendre les hommes heureux.

* Elle avait reussi à se liberer de son etrinte, continuant sa marche *

*Il ne répliqua rien sur Hayden, et puis, si elle disait qu'il n'y était pour rien, au fond, c'est qu'elle l'aimait encore, enfin, il ne voulait pas lui, mais il ne pouvait rien y changer.*

Tu me rends heureux moi !
Je suis heureux quand je suis avec toi, je suis heureux de t'avoir pour femme !

Je ne suis pas comme une certaine personne qui se dit souffrir de toi !

*Là par contre il parlait d'Hayden.*

* Elle s'était arretée, le visage dure, mais sans se retourner *

Il avait une bonne raison de dire sa.

* Si, c'était vrai. Elle avait fait souffrir Hayden, et aujourd'hui encore, elle le faisait souffrir. Comme Orlando qui venait de decouvrir la verité. Elle s'était dirigée vers l'armoire, prennant un gros sac qui servait de valise *

*Orlando haussait la voix, il y avait de quoi, déjà parce qu'il parlait d'Hayden , l'homme qu'il détestait pour plusieurs raisons, mais aussi parce que Natalie faisait sa valise.*

Qu'est-ce que tu comptes faire avec ce sac ?
Me quitter ? rejoindre ton amour de toujours ?

* Là elle était restée bouche bée, sans ne plus rien , sans bouger. Non, elle comptait partir 3/4 jours loin d'ici, changer d'air, se remettre de la perte des petits et revenir, toute changer, afin de vivre avec tout le bonheur avec son mari. Chose qui apparament n'aura pas lieu vu ses dernieres paroles. *

* Elle était à bout de forces, à fleur de peau, à bout de nerf. Elle continuait alors à faire son sac, sans prendre soin de plier ses affaires, les jettant dans le sac, et en pleurant silencieusement. Là, c'était comme s'il lui disait : on divorce. Et que quelqu'un l'a tué. *

Natalie, qu'est-ce qui va pas entre nous pour que tu agisses comme ça ?
On vivait heureux tous les deux !

*Lui aussi avait mal au coeur, il ne voulait pas qu'elle parte, il l'aimait.*

Explique moi simplement !